Les Gens de Hellemyr Tome 3
Severin
Grand Format
24,40 €
Dernière sortie
Lucie
A la fin de l'été 1886, à Kristiania, la jeune et jolie Lucie Rasmussen, ancienne danseuse de revue à Tivoli, croit toucher au bonheur quand l'avocat Theodor Gerner décide de l'épouser. Mais dans un monde corseté de conventions bourgeoises, où l'on voit d'un mauvais oeil les femmes qui ont connu la vie, la belle histoire se change bientôt en conte cruel... "Lucie" est paru en 1888. Après "Constance Ring" (1885) et les deux premiers tomes de "Les Gens de Hellemyr" (1887), c'est le quatrième roman de la Norvégienne Amalie Skram (1846-1905).
Peinture virulente du mariage bourgeois, qui ne concevait l'épouse qu'en être pur, soumis et reconnaissant, placé sous la tutelle du mari, c'est un bel exemple de ce que les critiques de l'époque qualifiaient de "littérature d'indignation". Il emmène le lecteur dans le Kristiania (aujourd'hui Oslo) des années 1880 et, en passant d'un quartier à l'autre, lui présente différentes conceptions de la relation de couple et de la morale sexuelle.
Dans les semaines suivant sa publication, la presse conservatrice cria au scandale et Amalie Skram se vit longtemps reprocher d'avoir écrit ce livre.
Peinture virulente du mariage bourgeois, qui ne concevait l'épouse qu'en être pur, soumis et reconnaissant, placé sous la tutelle du mari, c'est un bel exemple de ce que les critiques de l'époque qualifiaient de "littérature d'indignation". Il emmène le lecteur dans le Kristiania (aujourd'hui Oslo) des années 1880 et, en passant d'un quartier à l'autre, lui présente différentes conceptions de la relation de couple et de la morale sexuelle.
Dans les semaines suivant sa publication, la presse conservatrice cria au scandale et Amalie Skram se vit longtemps reprocher d'avoir écrit ce livre.
A la fin de l'été 1886, à Kristiania, la jeune et jolie Lucie Rasmussen, ancienne danseuse de revue à Tivoli, croit toucher au bonheur quand l'avocat Theodor Gerner décide de l'épouser. Mais dans un monde corseté de conventions bourgeoises, où l'on voit d'un mauvais oeil les femmes qui ont connu la vie, la belle histoire se change bientôt en conte cruel... "Lucie" est paru en 1888. Après "Constance Ring" (1885) et les deux premiers tomes de "Les Gens de Hellemyr" (1887), c'est le quatrième roman de la Norvégienne Amalie Skram (1846-1905).
Peinture virulente du mariage bourgeois, qui ne concevait l'épouse qu'en être pur, soumis et reconnaissant, placé sous la tutelle du mari, c'est un bel exemple de ce que les critiques de l'époque qualifiaient de "littérature d'indignation". Il emmène le lecteur dans le Kristiania (aujourd'hui Oslo) des années 1880 et, en passant d'un quartier à l'autre, lui présente différentes conceptions de la relation de couple et de la morale sexuelle.
Dans les semaines suivant sa publication, la presse conservatrice cria au scandale et Amalie Skram se vit longtemps reprocher d'avoir écrit ce livre.
Peinture virulente du mariage bourgeois, qui ne concevait l'épouse qu'en être pur, soumis et reconnaissant, placé sous la tutelle du mari, c'est un bel exemple de ce que les critiques de l'époque qualifiaient de "littérature d'indignation". Il emmène le lecteur dans le Kristiania (aujourd'hui Oslo) des années 1880 et, en passant d'un quartier à l'autre, lui présente différentes conceptions de la relation de couple et de la morale sexuelle.
Dans les semaines suivant sa publication, la presse conservatrice cria au scandale et Amalie Skram se vit longtemps reprocher d'avoir écrit ce livre.
