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À découvrir
Une immense histoire d’amour océanique !
Deux continents, deux cultures. Brooklyn. L’Irlande. Deux amours.
Long Island est un merveilleux portrait d’une femme troublée, sensible, ses sentiments qui oscillent comme le flux et le reflux d’une mer tempétueuse appelée Amour.
Une histoire dévorante, mangée par les chimères et les désirs. Avec le brio de Toibin, chaque homme chaque femme est explorée de manière fine,
Un texte d’une justesse et d’une élégance inouïes.
Kamel Khélif signe là un récit d’une beauté extraordinaire, dans l’horreur viscérale, comme un chant crépusculaire mais dont, comme un espoir, se plantent les germes d’un avenir ; au crépuscule suit la nuit, et à la nuit suivra un jour nouveau.
Bouleversant, magnifique, brutal, Monozande se fait le témoin unique du tragique, nécessaire toujours.
Le Jardin des Utopies sauce cyberpunk, du Damasio version Spirou, Les yeux doux fait la part belle à l’imaginaire et à la reconquête des esprits et des corps par ceux qui s’en sont fait destituer.
Une aventure inspirée, drôle et très humaine, aux décors dystopiques et utopiques bien sentis, à l’humour discret, aux péripéties multiples.
Superbe one-shot pour les amoureux de SF !
Au cimetière des cœurs cassés,
dans la poussière des âmes solitaires et déglinguées,
dans les collines du Wyoming où chacun connaît l’autre,
où les légendes ont la dent dure et les colères la langue bien pendue
dans ces lieux isolés où les réputations ne se refont pas,
où les coups du sort et les travers de la vie ne vous font pas de cadeau,
Dirty Rose offre une belle histoire, tendre et violente, où l’amour et l’amitié peuvent botter le train aux vieux démons !
Travail d’orfèvre, comme son titre l'indique,
des années de débauche, pointe bic à la main,
pour accoucher, on imagine un peu dans la douleur (le poignet d'Aurélien Lozes aura peut-être doublé de volume) d’un album superbement fini.
A lire dans les deux sens, comme un aller-retour, ou une boucle temporelle,
l'enquête ci-jointe mêle l'anachronisme de main de maître,
une poursuite philosophique d'un coupable en des temps où les coupables pullulent.
Justin Torrès, c’est un travail en soi, une hybridation du faux et du vrai, de la photo et du romanesque, des genres et des codes.
Justin Torrès, c'est une manière de parler de lui, de son histoire, et puis de tous et de l'histoire de chacun.
Blackouts, c'est de la poésie brutale lancée contre les parois des consciences comme un paquet de mots bien ficelés, une boule de neige avec de la grenaille dedans. Mais pas que, c'est aussi des morceaux de bravoure écrits avec le cœur.
Balckouts, c'est la condition homosexuelle vue par la petite fenêtre de l'intelligence et du brillant littéraire.
A la fois clinquant et sinistre. Magnifique et désespéré.
Blackouts, c’est de la subversion et de la révolte e
Justin Torrès signe avec Blackouts, une autobiographie détournée, une mise en éclat de la culture gay, Justin fait se télescoper les voix de ceux et celles qui firent sortir l’homosexualité de son placard, Torrès possède l’écriture du dandy mélancolique, du poète délabré, Blackouts est une œuvre bouleversante portée par une voix unique, un peu opaque, mais offre un merveux dialogue entre le contemporain et l’avant, entre la mémoire des révoltes et les échos d’aujourd’hui.
Une dystopie envoûtante, dans un monde où l’on s’éprend des IA, où les frontières se referment, où l’identité flotte dans des courants ambivalents, où les femme et les hommes cherchent à garder leur place organique dans un monde synthétique.
Une histoire de désir, de renoncements, d’envie et de troubles.
Avec ses couleurs douces, ses décors apaisants, sa langueur, une plongée hypnotique dans un Japon rongé par le doute d'une société en crise.
Avec toute la force et la fièvre romanesques de Perez-Reverte, L’italien nous plonge au cœur de la seconde guerre mondiale, dans un conflit qui fait des héros des âmes tiraillées par leur courage, leurs idéologies fébriles et leur amour patriote.
Une très belle histoire d’amour inscrite dans les fléaux de l’histoire, où l’ambiguïté des hommes leur donne une vraie consistance, où les frontières entre bien et mal s’effritent, où l’aventure peut prendre des allures de bravade contre l’ordre établi.
Soyeuse, subtile et précise, la langue de Michael Cunningham offre à ses personnages une existence au plus proche du réel, une dimension humaine où vivent les combats de chacun, les joies de tous, les miroirs de toutes les réussites et les échecs.
Il est cet artiste qui parvient à saisir avec une subtilité d'une aisance folle les hubris et les désarrois, les relations imparfaites qui unissent les hommes.
Sa délicatesse n'a d'égale que sa profondeur, Un jour d'avril rappelle combien la littérature peut nous faire découvrir l'autre.
Absolument divin !
Des étrangers dans les lavandes
Au cœur des lavandes, dans un village qui meurt à petit feu, où les quolibets fusent, où les franches rigolades font tonner les terrasses, où l’on doit apprendre à vivre avec ses morts, le maire décide de faire venir des cambodgiens ayant fui leur pays.
Un album profondément humain, drôle et goguenard, où la magie de l’autre parvient à guérir l’autre.
Entre le pastis et l’engueulade, Scotto et Saint signent une vibrante histoire d’amitié et de fraternité !