Kamel Khélif signe là un récit d’une beauté extraordinaire, dans l’horreur viscérale, comme un chant crépusculaire mais dont, comme un espoir, se plantent les germes d’un avenir ; au crépuscule suit la nuit, et à la nuit suivra un jour nouveau.
Bouleversant, magnifique, brutal, Monozande se fait le témoin unique du tragique, nécessaire toujours.
Kamel Khélif signe là un récit d’une beauté extraordinaire, dans l’horreur viscérale, comme un chant crépusculaire mais dont, comme un espoir, se plantent les germes d’un avenir ; au crépuscule suit la nuit, et à la nuit suivra un jour nouveau.
Bouleversant, magnifique, brutal, Monozande se fait le témoin unique du tragique, nécessaire toujours.