Depuis quelques années, H. Mankell oscille dans sa production littéraire entre les polars qui l'ont fait connaître et des romans centrés sur le malaise sociétal ou de personnes malades ou vieillissantes. Avec "le Chinois", il tente une synthèse des deux genres. Ce n'est malheureusement pas très convaincant.
L'enquête policière reste à la marge et n'apportera aucune explication à l'hallucinante scène de crimes. L'histoire de la juge mêlée à l'affaire s'avère sans intérêt.
En revanche, le périple des chinois mêlés bien malgré eux à la construction du chemin de fer californien
est passionnante .
On comprend les mobiles de la vengeance mais pas les raisons du choix de ce village suédois en particulier. On reste sur un flou, une impression que quelque chose échappe, ne fonctionne pas.
Pas le meilleur Mankell...
Quelque chose ne fonctionne pas.
Depuis quelques années, H. Mankell oscille dans sa production littéraire entre les polars qui l'ont fait connaître et des romans centrés sur le malaise sociétal ou de personnes malades ou vieillissantes. Avec "le Chinois", il tente une synthèse des deux genres. Ce n'est malheureusement pas très convaincant.
L'enquête policière reste à la marge et n'apportera aucune explication à l'hallucinante scène de crimes. L'histoire de la juge mêlée à l'affaire s'avère sans intérêt.
En revanche, le périple des chinois mêlés bien malgré eux à la construction du chemin de fer californien est passionnante .
On comprend les mobiles de la vengeance mais pas les raisons du choix de ce village suédois en particulier. On reste sur un flou, une impression que quelque chose échappe, ne fonctionne pas.
Pas le meilleur Mankell...