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À découvrir
En 2003, le Da Vinci Code avait secoué le polar ésotérique. En 2011, la nouvelle secousse s'appelle Le Dernier homme bon.
D'après le Talmud, 36 Justes seraient en permanence sur Terre pour mettre en échec le Mal. Or des personnes bienfaisantes se mettent à mourir partout autour du monde. Un décompte qui arrive bientôt à son terme.
Un thriller à bout de souffle, où la clef n'est pas la découverte d'un meurtrier mais de la future victime.
Le choix est impitoyable : après une nuit de torture, il n'en restera qu'un sur deux. Après deux ans de silence, le serial killer enlève un nouveau couple. Qui survivra ?
Intégrant une équipe endeuillée par ce même serial-killer, Mark Nelson va perdre toute illusion. Son chef, le légendaire Mercer, n'est plus que l'ombre de lui-même, et ils n'ont que jusqu'à l'aube pour résoudre le puzzle arachnéen laissé par le tueur.
Comment faire tenir un maximum de barjots dans un bar de 15 mètres carrés en plein cœur de Tokyo?
Diniz Galhos a la solution ! Il suffit d'égarer une mallette pleine de fric, d'éduquer sa fille belle mais irascible selon les enseignements des bérets verts, de charger un professeur spécialiste de Zola de voler une bouteille de saké appartenant à Tarantino, de placer un peu partout les yakusas d'un boss en fin de course, d'envoyer un tueur à gage américain profondément nippophobe et d'armer le tout jusqu'aux dents.
Des personnages hauts en couleur, des références à tire-larigot,
l'action pulse à chaque scène et le montage est aussi furieux et détonant qu'un Pulp Fiction ou un Kill Bill. Et quand on vous dit que Diniz Galhos est aussi le traducteur du Livre sans nom, vous croyez aux coïncidences ?
Du pur bonheur cinématographique sur papier.
A lire comme un recueil de nouvelles ou un roman peuplé de personnages explosifs, les Chroniques du Sud de l'Indiana sont des perles de littérature noire.
Le destin de chaque personnage est avalé par cet écosystème de la violence et du crime, où la vie est à la fois vaine et précieuse, où l’avidité et les désirs font flamber les esprits et trébucher les corps, où tous les recoins sombres de l'âme humaine trouvent une réponse dans le sang.
Chaque "nouvelle" est ficelée avec un soin et une précision délectable, nous laissant nous repaître sauvagement de ces personnages
sanguinaires, envieux, violents, perdus, ravagés par les drogues et les souvenirs de guerre.
Jérémy Ferrari, dans ce livre et dans ses sketchs, ne concède jamais à la bienséance ou au bien pensant le moindre détail.
Mettant les deux pieds dans le plat dès qu'un sujet devient sensible, son impertinence fait œuvre de catharsis contre une société bercée par la prudence et le « politiquement correct ».
A lire, pour tous ceux qui possèdent ce fameux second (voire troisième) degré d'humour !
Spero Lucas, ancien marine, travaille en marge de la justice. Il recueille des infos pour un ami avocat, surveille les avancées juridiques sur le meurtre d'une lycéenne ancienne élève de son frère, et part à la recherche d'un tableau volé à une honorable citoyenne. C'est sur cette dernière affaire que toute l'ampleur de son savoir-faire va pouvoir s'exprimer : car lorsqu'il s'agit d'entrer en conflit, Spero Lucas n'y réfléchit pas à deux fois. Même lorsque le sale type en face a un passif long comme le bras. Même lorsqu'il s'est acoquiné de deux acolytes aussi peu recommandables.
Le tout en se laissant le temps de se faire séduire par une femme mariée, se prouvant à lui-même une sensibilité qu'il aurait préféré se cacher.
Simple, rapide et efficace, le style de Pelecanos nous emmène droit au but. Dressant un portrait univoque des anciens combattants et des petits criminels, il se sert de son héros pour rétablir une justice de rue.
Une formidable plongée dans la mélasse américaine faite de vaudou, de bouts de cadavres et d'une sensibilité à fleur de peau.
Au travers d'un fin voile de surnaturel et sous une plume envoûtante, Poppy Z Brite excelle dans les mélanges audacieux de pop-littérature. Un recueil de nouvelles magnifiques, à vous hanter les nuits.
Trois hommes et un chien piégés au fond d'un gouffre, attachés par un pied, un bras ou emprisonné dans un masque de métal. Au cœur de leur prison de roche et de glace, saturée d'humidité et soumise à une température glaciale, quels sont leurs chances de survies ?
Thilliez réinvente le huis-clos en nous offrant la plus implacable des prisons : le cœur de la montagne. Et qui de mieux pour entraîner le lecteur qu'un vainqueur des sommets entrainé à la survie ?
A lire d'une traite, sans respirer.
Chaque nuit, la mémoire de Christine s'efface. Tous les matins elle se lève sans aucun souvenir et doit tout réapprendre. Ce qu'a été sa vie, ce qui l'en a privé... C'est alors qu'un médecin l'appelle : jour après jour, dans un journal, elle tente de reconstruire ce qu'elle a été.
Avec une fluidité et un style tout en finesse, Watson nous plonge dans la quête désespérée d'une amnésique contre les mensonges qui semblent la protéger.
Un polar talentueux sous le règne de Louis XV
Deux personnages principaux complètement antagonistes qu'une vraie barrière morale sépare s'intéressent à un même crime. L'un, Volnay, est inspecteur "aux morts étranges", nommé à son poste après avoir sauvé la vie d'un roi qu'il hait. Le second, Casanova, est un témoin bien encombrant, à la fois opportuniste, fouineur et séducteur. Pour couronner le tout, la défunte au visage arraché portait une lettre royale.
L'enquête devient rapidement l'objet de toutes les convoitises, tenants du pouvoirs ou comploteurs.
La richesse du roman se déploie dans une intrigue habile et des portraits au vitriol des grandes figures historiques, d'un Louis XV libidineux et prédateur, d'un Sartine arriviste et impitoyable à l’ambiguïté d'une marquise de Pompadour maquerelle et protectrice des libertés intellectuelles, en passant par les intriguants Saint-Germain et Casanova.
Un foisonnement dépaysant et rafraichissant, pour tous les amateurs de polar historique ! ! !