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À découvrir
Lui a un cœur de pierre qui ne sait aimer.
Elle a un cœur d'artichaut qui aime tout.
Chaque jour elle va lui donner un peu de son cœur.
Chaque jour il ne comprendra pas pourquoi.
Un petit garçon peut-il avoir un cœur d'or ?
Un magnifique conte dans la lignée des histoires de Tim Burton et Matthias Malzieu, à la fois triste et joyeux, et d'un dessin de toute beauté.
A travers les tractations pour une alliance russo-anglaise, Ken Follett nous offre une approche de l'Europe d'avant-guerre.
A cette fin, il nous plonge dans l'aristocratie anglaise et les tensions qui la menace, de l'anarchisme tout droit importé de Russie à la révolte des suffragettes, sans oublier les passions enfouies qui ressurgissent au cœur d'une habile intrigue d'espionnage.
Les personnages hauts en couleur, où apparaît un Churchill en devenir, se livrent à un haletant jeu du chat et de la souris.
Pour David, l'arrivée d'un bébé dans la famille et de la guerre en Europe, fragilise son imaginaire incontrôlable.
Happé par le mystère qui hante le fond de son jardin, il va découvrir un monde à la magie cruelle et aux frayeurs attrayantes.
John Connolly nous entraîne avec une plume audacieuse dans le sillage des contes initiatiques noirs et poétiques. Si l'on peut reprocher au roman une tendance à densifier chaque étape du voyage, l'originalité et la créativité des mondes et personnages sont grisantes.
Une perle unique dans une tendance éculée.
Prévue en 2 tomes, La Mémoire de l'eau nous entraîne avec une petite fille et sa maman dans une Bretagne calme et intriguante. Alors que la presqu'île soigne doucement la douleur du divorce, Marion, petite fille intrépide, se met en quête des mystères qui parsèment le village et les côtes. Quelques grottes, des pierres marquées par des symboles et un phare interdit sont les premières pistes qui s'offrent à elle. Et dans l'ombre des embruns le mystère rôde et des yeux l'observent...
La découverte d'un corps momifié par radiations, puis une vague de suicide met le commissaire Marling en alerte. Point commun à l'enquête, une série de formules retrouvées sur les cadavres.
Assisté du narrateur, un journaliste aventurier proche de tintin, il se met à la poursuite d'une voix "chaude et cuivrée" qui annonce chaque décès à la police. Et très vite, ils sont embarqués dans un sombre jeu de piste les ramenant au passé des technologies nucléaires.
Dans la lignée de Seuls et Sa Majesté des mouches, voici un monde où tous les adultes ont été décimés par un virus. Ne reste à la surface la terre plus que les enfants de moins de douze ans. Parmi eux Lisa, qui doit s'occuper de son petit frère Todd, apprendre à conduire toute seule, trouver assez de nourriture pour eux deux... Mais lorsque des bandes organisés se mettent à rafler toutes les provisions et terrorisent ce qui reste de voisins, Lisa n'a plus qu'une solution : créer sa propre ville pour contenir ceux qui n'ont pas de protection contre la brutalité de ce monde.
Une
excellente bande dessinée sur la débrouillardise des enfants et la compréhension de la peur face à l'adversité.
Un attentat dans l'aéroport d'Orly, suivi du suicide d'un ex-président, voilà de quoi débuter un roman sur les chapeaux de roue. Situation d'état ? Terrorisme international ? Une officine au service de l'Elysée est chargée de réagir au plus vite pour enquêter avant l'enquête officielle. Les premiers indices remontent très vite plusieurs pistes aussi brûlantes que multiple : la Malaisie, les horloges atomiques, le partage des minerais rares, le tout en servant de protection rapprochée à la petite-fille de l'ancien président, jeune prodige de 10 ans à l'esprit très aiguisé. La
mission devient d'autant plus critique lorsque Paris se transforme en terrain miné, dans un compte-à-rebours éliminant un à un les indices et les témoins.
Avec un sens aigu des enjeux modernes de l'espionnage et de la guerre économique mondiale, Bernard Besson nous livre un roman palpitant, intelligent et surtout terriblement possible.
Si de très bonnes idées fusent à travers le roman, la trame en est noyée par l'hermétisme des pensées pseudo-philosophique. Comme une succession de données, le héros se borne à un psychisme métaphysique poussif. Ses réflexions sans référentiel tentent d'apporter du fond à la psychologie du personnage mais n'en font que la caricature d'un type "qui vit au dessus de tout", "qui n'a pas les codes" pour comprendre le monde tel qu'il est et accepter ses "asymétries".
L'idée n'est pourtant pas neuve et aurait eu grand intérêt si les représentations du chaos n'étaient pas déconnectées
de l'intrigue, car leurs charges narratives sont puissantes et évocatrices. Certaines séquences sont des perles de mises en scènes (et on imagine très bien ce qui a pu attirer un metteur en scène psychédélique comme Cronenberg).
Reste qu'il n'y a d'empathie pour aucune situation aucun personnage, et que la beauté froide du chaos ne suffit pas à faire un bon roman.
De la fin du collège aux premières années du lycée, Vanyda nous dessine la vie de Valentine, une adolescente touchante, et de ses amies.
Avec subtilité on entre dans cet âge où se mêle le besoin d'être seul et celui d'appartenir à un groupe, cet âge où les amis changent et où l'on découvre de nouveaux horizons.
De la perte de repères aux premiers émois, cette histoire est celle de toutes les adolescentes, sans drame, sans tabou et sans vulgarité.
Calvin et Hobbes au pays de Tim Burton
Petite fille impertinente, Suzie autant de problèmes avec l'autorité qu'avec ses cheveux. Quand une chauve-souris clandestine s'invite dans sa chevelure, c'est tout un monde fantastique qui s'ouvre à elle.
Comment rester petite fille quand on se prend pour une star de Beverly Hills, que l'on croise des falquenins (mi-chat mi-chien), qu'on a un professeur de Yan Chi et que l'on rêve d'une morsure de Grand-Garou ?