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Dans ce second volet des aventures de Lucie Hennebelle, un tueur en série dénommé "le professeur" revient sur le devant de la scène après quatre ans d'absence. Franck Thilliez propose, une fois de plus, un livre parfaitement bien ficelé. On ne s'ennuie jamais, les événements s'enchaînent très vite et rien n'est laissé au hasard. Le personnage de Lucie est toujours aussi attachant, son histoire se mêle parfaitement bien avec l'enquête, sans jamais prendre trop de place. Quant-à l'histoire, elle tient en haleine. On progresse main dans la main avec Lucie, on comprend les choses en même temps et on redoute toujours le pire... En ce qui concerne la mémoire, l'un des deux thèmes centraux de l'histoire, Franck Thilliez donne de nombreuses informations, qui, en plus d'être fondées (j'ai eu l'impression d'être en cours!) sont surtout extrêmement bien retranscrites, toujours dans le but d'étayer son propos et sans jamais devenir rébarbatives. Pour ce qui est des mathématiques, je ne peux par contre pas dire que je savais de nombreuses choses sur le sujet, mais j'ai tout de même été très intéressée, toujours heureuse d'apprendre tout en me divertissant! En somme, une lecture très très agréable, qui m'a permis de passer un excellent moment!
Ce roman n'est pas fait pour rendre le sourire. Arnaldur Indridason nous livre ici un roman noir, aux personnages ressemblant au climat du nord, froid et magnifique. La misère de certains quartiers est le thème de ce livre et cela fait écho à la vie du personnage principal.
J'ai beaucoup aimé ce livre. La lenteur de l'intrigue, les histoires écrites en parallèles et la présence de l'enquêteur Erlendur Sveinsson et de ses collèges font de ce livre très bon polar. Le thème est très instructif et l'on est happé par l'histoire.
Ce roman se déroule à la période de Noël. Cette période n'est pas aussi joyeuse pour Erlendur, le personnage principal, que pour la majorité des gens. Alors au lieu de partir en vacances, il décide d'emménager dans l'hôtel où s'est déroulé le meurtre. De ce fait, l'histoire se passe en huit clos, tous les personnages sont donc présents dans l'hôtel. Ce roman est un très bon et j'en ai apprécié la lecture. Arnaldur Indridason a fait de ce huit clos un très beau roman sur la les liens familiaux, notamment en mettant en parallèle ceux de l'enquêteur et ceux de la victime.
La cité des Jarres est le premier tome de la série des Erlendur Sveinsson. On y retrouve tous les ingrédients des polars nordiques. Le froid, un enquêteur au caractère de chien, et des meurtres qui semblent simples mais s'avère plus compliqué qu'il n'y parait. Avec de ce premier volet, on fait connaissance avec les personnages et l'on apprécie savoir qu'on les retrouvera tôt ou tard, dans d'autres romans.
Encore un très bon livre d'Indridason! J'ai beaucoup aimé le fait de suivre deux histoires, à deux époques différentes! De plus, chacun des personnages de ces deux histoires ne laisse pas indifférent!
Sam, jeune homme de seize ans, fan de skateboard et de T. Hawks, se retrouve à la croisée des chemins, entre la fin de sa vie d'enfant et sa futur vie d'adulte. Et ça, Sam ne l'a pas vraiment choisi, ça lui tombe dessus. En même temps, il se dit que les événements lui rappellent sa propre venue au monde. L'histoire se répète.. Avec l'aide de sa mère et du poster de son skateur préféré (qui lui répond à sa façon, cela va sans dire...) Sam apprend à faire des choix et surtout à faire face à la situation. Nick Hornby a su se mettre dans les baskets de son personnage principal, a su transcrire parfaitement bien les affres de la vie de Sam ainsi que celle d'Alicia, deux ados de 16 ans. Le thème de la maternité adolescente est bien traité, de manière très réaliste, sans tomber dans le mélo. Pas question de faire la morale, l'auteur ne se pose pas en donneur de leçon. Les personnages ne sont pas caricaturaux, les dialogues non plus, l'auteur a su écrire un livre dont on aurait pu croire qu'un ado l'avait écrit. En somme, une lecture agréable grâce à une écriture juste et agréable.
Gain d'un concours sur internet, j'avoue avoir été agréablement surprise par ce livre. Tous les codes et rouages du genre sont présent, donc jusque là une lecture tout à fait basique, avec une jeune femme qui fait des choix plus ou moins pertinents concernant sa vie privée. Mais là où j'ai vu une petite différence avec les nombreux livres du genre, c'est qu'il est particulièrement drôle. L'auteur fait preuve d'un certain humour et sa prose est donc d'autant plus agréable à lire. En bref, une histoire que se lit bien!
un véritable thriller psychologique!
Karine Giebel est vraiment la reine de la manipulation! Dès les premières pages, on est embarqué par l'histoire, celle d'une jeune femme qui se croit persécutée par une homme, une ombre qui maîtrise à tel point ses effets que même nous lecteur finissons par nous poser la question : est-elle folle ou l'ombre existe-t-elle vraiment?
Alors forcément, on veut savoir... Les pages défilent, les personnages prennent prennent plus de poids, et nous, lecteur sommes à la merci de l'auteur, en attente d'un dénouement qui on l'espère, sera à la hauteur... Et il l'est!
J'ai frissonné, j'ai douté, j'ai été ému, parfois agacée, par les personnages, leurs histoires personnelles, leurs traits de caractères, leurs réactions. Et même si j'avais deviné en quelque sorte deux ou trois petites choses avant qu'elles n'arrivent, j'ai apprécié découvrir pour la première fois un livre de Karine Giebel.
Maintenant c'est sûr, cette auteure a du talent. Je vais suivre de près ce qu'elle écrira et me plonger dans ces précédents livres avec l'envie de passer, encore une fois, un très bon moment de lecture!