Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A travers un certain nombre d'articles tantôt analytiques, tantôt synthétiques, ce dossier propose un panorama des collections de décors de la bibliothèque-musée...
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Résumé
A travers un certain nombre d'articles tantôt analytiques, tantôt synthétiques, ce dossier propose un panorama des collections de décors de la bibliothèque-musée de l'Opéra. Mathias Auclair s'intéresse à cet ensemble à travers trois époques significatives : le début du XIXe siècle, expliqué à la lumière de documents d'archives ; la direction de Jacques Rouché au travers de l'exemple d'Ernest Klausz ; et " l'ère Liebermann ", toute proche de nous (qui donne lieu du 14 décembre 2010 au 13 mars 2011 à une exposition au Palais Garnier). Les collections de la bibliothèque ne se limitent pas au seul Opéra de Paris. Il y a quelques années, Pier Luigi Pizzi et Ezio Frigerio ont offert leurs esquisses de décors qui s'inscrivent dans un cadre bien plus large que celui de l'Opéra de Paris ou même celui des théâtres français. Auparavant, l'institution s'était efforcée de réunir des décors réalisés pour les scènes étrangères, pour les Ballets russes et les Ballets suédois. Parmi ces décors " étrangers ", c'est à ceux du " fonds allemand " que ce dossier s'intéresse en donnant ainsi un contrepoint aux exemples parisiens. Une fois acquise, cette collection a été étrangement " oubliée " et ce n'est qu'il y a une quarantaine d'années que ce fonds a été sommairement classé par Nicole Wild avant d'être tout récemment décrit, inventorié, étudié et bientôt catalogué par deux chercheurs, Clémentine Lemire et Stefan Kröger, qui en étudient quelques aspects pour ce numéro. Outre ce tour d'horizon de nos collections, ce dossier permet de se faire une idée de l'évolution et de la diversité de la conception du décor à l'Opéra : illustratif et confié à des artisans, oeuvre d'art à part entière confiée à des artistes de chevalet. Notons pour terminer que la BNF, à laquelle la bibliothèque$musée de l'Opéra est rattachée depuis 1935, mène une politique de numérisation de ces pièces, permettant à la fois de limiter la communication des documents originaux et d'en élargir la consultation par un public " virtuel " : les esquisses de décors français du XIXe siècle ainsi que les dessins du fonds Pizzi sont tous consultables dans Gallica. La numérisation des maquettes en trois dimensions du XIXe siècle vient de débuter. Un projet de numérisation sur les estampes de théâtre doit bientôt être entrepris et apporter d'utiles compléments aux fonds déjà numérisés sur la réception et la médiatisation du décor au XIXe siècle.