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roman historique
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silence
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polar
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fascisme
J’ai bien aimé cet ouvrage un peu désenchanté qui mêle la petite histoire avec la grande Histoire. Que de secrets, que de non-dits chez nos anciens. Parfois on se dit qu’on aurait dû parler avec eux, poser des questions. Mais on ne le fait pas, et le temps passe. Et puis, un jour, c’est trop tard. Et c’est quand c’est trop tard qu’on regrette.
Ce n’est pas pour cela que nos parents, grands-parents, arrières-grands-parents étaient des saints. On n’est pas toujours fier de ce qu’on est, qu’on a fait. Et puis la vie n’est pas toujours comme on aurait voulu, alors on
se tait.
L’histoire démarre comme une enquête classique. Bon, un vieillard de 97 ans qui meurt, on se dit que c’est dans l’ordre des choses… et puis, et puis, on plonge dans un autre univers, celui du fascisme en Europe et en Amérique du Sud. Mais je n’ai pas envie de spoiler le roman.
Les personnages sont bien plantés. Ils sont bousculés par cette histoire, plus qu’ils ne l’auraient pensé.
Sébastien MAYOUX ne juge pas, il décrit. Il n’y a pas de morale à cette histoire, pas de justice non plus. Chacun fait ce qu’il peut, comme il peut, au moment où il peut. La vie quoi.
une enquête dans le passé
J’ai bien aimé cet ouvrage un peu désenchanté qui mêle la petite histoire avec la grande Histoire. Que de secrets, que de non-dits chez nos anciens. Parfois on se dit qu’on aurait dû parler avec eux, poser des questions. Mais on ne le fait pas, et le temps passe. Et puis, un jour, c’est trop tard. Et c’est quand c’est trop tard qu’on regrette.
Ce n’est pas pour cela que nos parents, grands-parents, arrières-grands-parents étaient des saints. On n’est pas toujours fier de ce qu’on est, qu’on a fait. Et puis la vie n’est pas toujours comme on aurait voulu, alors on se tait.
L’histoire démarre comme une enquête classique. Bon, un vieillard de 97 ans qui meurt, on se dit que c’est dans l’ordre des choses… et puis, et puis, on plonge dans un autre univers, celui du fascisme en Europe et en Amérique du Sud. Mais je n’ai pas envie de spoiler le roman.
Les personnages sont bien plantés. Ils sont bousculés par cette histoire, plus qu’ils ne l’auraient pensé.
Sébastien MAYOUX ne juge pas, il décrit. Il n’y a pas de morale à cette histoire, pas de justice non plus. Chacun fait ce qu’il peut, comme il peut, au moment où il peut. La vie quoi.