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Après vingt-sept jours de survie, l'ordre semble enfin de retour, avec lui le média, le vice politique et citoyen, tandis que de larges zones du territoire sont encore privées de tout, et que certains refusent toujours de déposer les armes. Il aura fallu pour en arriver là une banale descente dans une cité, des jeunes abattus par un policier. L'embrasement du pays et l'effondrement de l'Etat. Sous un intense conditionnement et l'impulsion de milices " citoyennes ", la crise semble sous contrôle.
En réalité, rien n'est réglé. Le pouvoir en sursis pourrait être violemment confronté à ses limites, et la France livrée à un chaos bien plus terrible encore. Au milieu de cette convulsion indécise, Gite, Escard, Danjou, la fillette et les autres, tous se préparent à jeter leurs dernières forces dans l'affrontement final. Voilà l'univers réduit à la terreur, et voici sonnée l'heure de la guerre totale.
Après ses deux premiers tomes best-seller Le jour où tout s'embrasa et Le temps des barbares, Laurent Obertone conclut au bout du suspense et de manière magistrale sa saga Guerilla : celle de l'effondrement d'une nation.
Un troisième volet qui n'a rien à envier aux 2 premiers
"Il y a des chiens pour garder les moutons, il y a des loups pour manger le moutons et il y a des bêtes pour décapiter le berger."
Sincèrement, j'espère qu'l existe encore de bêtes pour la survit du mouton car on ne le rappellera jamais assez mais c'est toujours le berger qui amène le troupeau à l'abattoir.