Oeuvres Completes. Tome 4

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Résumé

On trouvera dans ce tome IV des Oeuvres complètes ce qui formait, aux yeux de Rousseau, l'essentiel de sa pensée en matière d'éducation, comme aussi en matière d'anthropologie générale et de théologie. Le commentaire de ces textes capitaux a été confié à J. S. Spink, qui connut l'activité des pédagogues du XVIII ? siècle, à un grand historien des idées philosophiques, Henri Gouhier, et à l'auteur d'une thèse dès aujourd'hui classique sur la philosophie de l'existence de J.
-J. Rousseau. Pierre Burgelin a analysé l'Emile, "l'une des oeuvres clefs de notre civilisation" , avec une force pénétrante qui en fait ressortir toute la richesse et l'originalité. On lira enfin, présentées par R. de Vilmorin, les Lettres sur la botanique, dont l'intention didactique est indiscutable. Des notices bibliographiques et un index des noms et des ouvrages cités dans ce volume complètent cet ensemble de textes et de notes critiques qui renouvellent notre connaissance de la pensée morale et religieuse de J.
-J. Rousseau.

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L'éditeur en parle

Les écrits de Rousseau sur la musique étaient peu accessibles. Ils figurent intégralement dans ce volume, qui contient notamment le Dictionnaire de musique né des articles que commanda Diderot, pour l'Encyclopédie, à celui en qui l'on voyait alors, avant tout, un musicien. Rousseau, il est vrai, tablait sur cette facette de son talent pour se faire une place dans la société. Il comptait sans Rameau qui ne s'est pas privé de dire le mal qu'il pensait des Muses galantes.
Terrassé, délesté de son honneur et de ses honoraires, Rousseau a fait de son contempteur l'incarnation d'une musique française lors de la querelle des Bouffons, il s'est employé à montrer que le système ramiste menait à un art de la non-communication. Or, "tout chant qui ne dit rien n'est rien". La musique est un langage, elle doit être l'art de l'expression vivante. Rousseau fonde sa pensée linguistique et musicale sur la nécessité de réconcilier la plénitude des origines et le savoir.
Se profile alors le rêve d'un art régénéré : la poésie parle à l'esprit, la musique sollicite l'oreille, la peinture réjouit les yeux ; la réunion des trois renoue avec les premières fêtes, à l'époque de l'unité de la parole et de la mélodie. C'est à un chef-d'oeuvre de la civilisation, l'opéra, que Rousseau confie la mission de provoquer ce retour à l'origine, qui est aussi annulation du temps.

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