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Le présent travail est une réflexion sur la pratique cognitive des juristes académiciens et sur un aspect particulièrement important de celle-ci : l'interprétation. Deux idées l'animent : d'abord, qu'en l'état actuel des choses, en Tunisie comme ailleurs, la connaissance du droit n'est pas une science ; ensuite, que l'interprétation, qui est à la fois l'objet principal et un instrument essentiel du travail des juristes académiciens, ne relève pas de la connaissance, mais de la volonté...