Un petit coin de côte normande.
Cet été à la plage, il observe, il regarde du haut de ses 10 ans, ce qui l'émerveille, ce qui scintille mais qu'il n'a pas.
Et puis il y a cette rencontre. Baptiste.
On y habite enfin un monde, dans le regard de l'autre et les fantasmes des possibles.
On y lâche ses solitudes, comme l'on y fuit ses hontes et les douleurs d'une histoire familiale percée d'absences.
Entre douceur et clairvoyance.
C'est aussi la fin de l'innocence.
C'est un été qui transpire. De sensations, de troubles et d'émotions naissantes.
Les jeux de l'enfance y semblent
comme les châteaux de sable d'une identité qui chemine et s'affirme, dans le bruissement de l'eau et des marées bercées d'amour étouffées.
"Un jour ce sera vide" est un instant rare et précieux, grave et délicat, où les mondes engloutis de l'enfance, ceux peuplés de fantômes et de silences se dilatent dans l'imaginaire, les rêveries et les vertiges ouatés d'une amitié pas comme les autres.
Les blancs s'y comblent par fragments, comme s'y envolent les peurs du lendemain.
A tâtons.
Le temps d'un été.
Se laisse baigner de grâce, maillé des embruns sensibles et magnétiques et la simplicité d'une langue magnifique.
Un jour ce sera vide...
Un petit coin de côte normande.
Cet été à la plage, il observe, il regarde du haut de ses 10 ans, ce qui l'émerveille, ce qui scintille mais qu'il n'a pas.
Et puis il y a cette rencontre. Baptiste.
On y habite enfin un monde, dans le regard de l'autre et les fantasmes des possibles.
On y lâche ses solitudes, comme l'on y fuit ses hontes et les douleurs d'une histoire familiale percée d'absences.
Entre douceur et clairvoyance.
C'est aussi la fin de l'innocence.
C'est un été qui transpire. De sensations, de troubles et d'émotions naissantes.
Les jeux de l'enfance y semblent comme les châteaux de sable d'une identité qui chemine et s'affirme, dans le bruissement de l'eau et des marées bercées d'amour étouffées.
"Un jour ce sera vide" est un instant rare et précieux, grave et délicat, où les mondes engloutis de l'enfance, ceux peuplés de fantômes et de silences se dilatent dans l'imaginaire, les rêveries et les vertiges ouatés d'une amitié pas comme les autres.
Les blancs s'y comblent par fragments, comme s'y envolent les peurs du lendemain.
A tâtons.
Le temps d'un été.
Se laisse baigner de grâce, maillé des embruns sensibles et magnétiques et la simplicité d'une langue magnifique.