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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
Cependant, un contrôle minutieux est effectué par nos équipes afin de vérifier qu’ils respectent notre charte de qualité. A savoir, des livres lus peu de fois pouvant présenter des traces d’usure ou de vieillissement, mais qui ne nuisent pas à la lecture.
La couverture et le dos peuvent présenter de petits défauts. Le papier avec le temps peut être jauni sans pour autant gêner la lecture. Toutes les pages sont présentes. Des livres à lire et relire encore et encore…
*Photo non contractuelle. L'édition livrée peut différer de celle commandée.
Un jeune islandais, endeuillé par la mort accidentelle de sa mère, part en voyage.
Il laisse son frère, son vieux père, il emporte dans ses bagages des plants de roses et un talent paticulier pour le jardinage.
Il laisse aussi derrière lui une femme, qu'il a connu "l'espace d'un quart de nuit", et leur fille conçue à cette occcasion.
On le suit dans son voyage et durant son installation dans un petit village où il va devoir s'occuper d'un jardin de roses dans un monastère. Il y fait la rencontre des habitants, et d'un moine passionné de cinéma qui trouve souvent des réponses aux
grandes questions de la vie dans des répliques de films : "ce n'est pas la première nuit qui est risquée, mais la deuxième, quand la magie de l'inconnu a disparu mais pas celle de l'imprévu".
Et un jour, mère et fille débarquent au village, et l'équation de sa solitude est bouleversée, et nous aussi par la même occasion.
Ce livre vous réchauffe le coeur, il est comme un lever de soleil.
Doux, déjà discrètement éclairé des considérations qui marqueront l’œuvre d'Ólafsdóttirsur les coïncidences, la religion, la beauté de la vie, Rosa candida est un roman d'apprentissage plein de finesse. D'une insolence charmante, ce livre est aussi une ode à la nature, à la paternité et aux liens familiaux dans leur ensemble. En évoquant la différence, l'errance décalée d'un narrateur lunaire, l'autrice islandaise confirme son talent pour écrire des récits initiatiques inspirés, croquignolets et tendres (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/06/21/rosa-candida-audur-ava-olafsdottir/)
Un roman initiatique, un peu à la façon du Petit Prince.
Le héros part à la découverte de lui même dans un voyage au cours duquel il emporte avec lui des boutures de la rose que ça maman a créée.
Une description assez magique des paysages,qui donne envie de découvrir les lieux en vrai,des personnages attachants.
Ce livre est de loin le livre que j'ai le plus offert car il permet une douce parenthèse enchantée
J'ai adoré cette lecture ! Beaucoup de fraîcheur , belle écriture , un régal , merci à l'auteur pour ce moment de bonheur .
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/rosa-candida-de-audur-ava-olafsdottir/
Résumé : Ancien pécheur, Arnljotur décide de devenir jardinier, il part alors pour dans un monastère avec un spécimen rare de Rosa Candida, souvenir précieux de sa défunte mère. Après un bref moment d’égarement dans une serre il se retrouve papa à 22 ans.
Le mot de la fin : Je me suis prise d’affection pour ce personnage lunaire et innocent. Un coup de cœur pour ce vent de douceur qui émane de chacune des pages.
Arnjoltur a une vingtaine d'années, il vit avec son père et son frère jumeau autiste. Sa mère, de qui il était très proche vient de mourir dans un accident de voiture. Elle lui a communiqué son goût du jardinage. A peine revenu de quelques mois en mer pour se faire de l'argent, il quitte l'Islande et ses paysages de champs de lave pour aller vivre sa passion en restaurant une roseraie bien connue des spécialistes dans un monastère.
Il part avec dans son sac des boutures de rosier à huit pétales, fierté de sa mère, qu'il compte planter dans la roseraie et dans la poche une
photo de la fille qu'il a eu d'une relation d'une nuit avec Anna. Arrivé à destination il se met au travail et reçoit rapidement des nouvelles de la mère de sa fille. Celle-ci a besoin que le jeune homme s'occupe de sa fille le temps de rédiger son mémoire, elle étudie la génétique. Comme avec un rosier, la greffe entre le jeune homme et sa fille va-t'elle prendre???
Un roman tout en douceur, comme un bouquet de rosa candida, ces roses sans épines. Un roman touchant sur la naissance des relations entre un père et sa fille, sur l' amitié qui naît avec le frère Thomas, qui pour chaque problème trouve une réponse dans un film, sur la relation entre un père âgé et protecteur et un fils qui veut s'émanciper et vivre sa passion. A découvrir!
Un petit bonheur de lecture, ce livre respire la fraicheur et la pureté d'ame.
Le heros , un jeune homme de 22 ans part de son pays natal avec ses boutures de roses pour un jardin mythique mais à l'abandon dans un monastère , laissant derriere lui son frère jumeau, autiste, son père et un bébé né d'une union d'un soir.
Il decouvre avec candeur la vie, les autres , accueilli par un moine amateur de films et de liqueurs ;
Le vrai changement va arriver lorsque sa petite fille et sa mère le rejoignent, nous sentons le passage à l'age adulte grace aux liens profonds qu'il noue avec le
nourrisson, l'un et l'autre evoluent en harmonie alors que la mère, elle ,murie trop vite par sa maternité s'eloigne.
Les relations entre ces personnages sont belles, directes et pudiques, sans affectation ni verbiage.
Un veritable regal...
Arnljotur, jeune islandais de 22 ans quitte le giron familial pour réaliser son rêve : redonner vie à la célèbre roseraie d’un monastère lointain. Après des adieux difficiles avec son père, le jeune homme profite du long trajet pour revenir sur le décès de sa mère dont il était très proche et sur sa relation avec sa fille et la mère de cette dernière au fil de ses rencontres plus insolites les unes que les autres.
Ce long périple va être l’occasion pour le jeune homme de devenir adulte et surtout de devenir père.
On s’attache très vite à ce personnage candide,
naïf, franc et rare. On sent toute la tendresse que l’auteur porte à son personnage.
Ce roman se présente comme un roman initiatique très vite teinté d’humour, de douceur et d’amour. On sent dans ce roman, une atmosphère qui lui est propre tournée vers ce personnage atypique en littérature. Un personnage en décalage avec le monde qui l’entoure mais qui a su se créer un monde à lui fait de roses et des rires de sa fille.
Avec toutes les critiques positives lues sur ce livre, je ne m'attendais vraiment pas à ça ..... J'ai été décue du début à la fin. L'écriture que certains qualifie de douce et tendre m'a semblé plate et vraiment banale. Le jeune homme dont on suit l'installation dans un monastère pour faire revivre le jardin ne m'a pas du tout touché. Par moment, des personnages apparaissent pour disparaitre aussitôt. L'arrivée de sa fille et sa femme est totalement improbable : le bébé de 9 mois parle, marche c'est tout juste si elle n'apprend pas le latin (elle en connait 10 mots ...). Non vraiment, bien déçue ....
Arnljótur quitte son père et son frère handicapé pour rejoindre un monastère où se situe un jardin réputé pour sa roseraie exceptionnelle. Il veut y replanter des boutures du rosier Rosa Candida élevé par sa mère morte dans un accident de voiture. J'avais beaucoup entendu parler (en bien) de cet ouvrage et j'attendais peut-être trop de sa lecture. L'histoire d'Arnljótur est attendrissante et le début du roman tient du road-movie avec la rencontre de personnages singuliers et les retrouvailles du jeune homme avec la mère de son enfant et celui-ci. Le récit stagne ensuite et le caractère des personnages n'est pas assez fouillé à mon goût. La fin du livre m'a laissée sur ma faim. A lire néanmoins pour passer un moment certes agréable mais pas inoubliable.
A 22 ans, Arnljotur quitte la lave et la glace de sa terre d'Islande pour rejoindre, sur le continent, un monastère dont il doit restaurer la roseraie. Il part avec, dans sa poche, une photo de sa petite fille, dans son coeur, l'amour de son père et de son frère autiste et le souvenir de sa mère trop tôt disparue, et dans son coffre trois boutures de rosa candida.
Un peu de douceur dans ce monde de brutes! Voilà les mots qui me sont venus à l'esprit quand j'ai refermé ce petit bijou de la littérature islandaise.
Tout est beau dans ce livre, les gens, les paysages, les sentiments.
Quête initiatique, conte moderne, c'est le parcours d'un jeune homme à la recherche de lui-même qui grâce à des rencontres, à des conseils, à des expériences nouvelles, va découvrir qui il est et qui il peut devenir. J'ai beaucoup aimé Arnljotur, sa candeur, sa fraîcheur, sa bonté. Et j'ai adoré son père, vieux bonhomme complètement dépassé par la mort injuste et inattendue de sa femme, toujours inquiet pour son fils, tellement bon et aimant.
Un petit livre pour se déconnecter de la dure réalité, à déguster sans modération.
J'ai été très touchée par ce joli roman initiatique islandais dont j'avais beaucoup entendu parler. Les éditions Zulma publient décidément de belles découvertes. Une histoire toute en douceur, en tendresse et en retenue, un héros candide mais attachant et à la hauteur des responsabilités qui lui tombent dessus sans crier gare. J'ai aimé les passages sur la découverte, la difficulté de devenir parent pour l'une, et la facilité et l'évidence pour l'autre. Tous les personnages sonnent juste. Je suis épatée par la justesse de ce texte, tout est à sa place, il n'y a rien de trop et rien ne manque. Bravo ! (juin 2012)
A peine sorti de l'adolescence, notre héros, islandais passionné de jardinage devient père sans le savoir...
Il entame une épopée qui le conduira loin de chez lui au sein d'un monastère un peu mythique, où il grandira auprès des fleurs qu'il cultive avec amour et d'un moine passionné de cinéma, pour devenir adulte et père, en trouvant un chemin pacifié parmi les émotions qui l'assaillent...
Doux et piquant comme une rose, ce roman est un vrai bijou !
Un livre d'une grande douceur, joli au noble sens du terme, plein d'humanité...J'ai beaucoup aimé, il y en a peu avec ce ton et ces nuances
Arnljótur quitte l'Islande où il est né et où rien ne pousse pour remettre en état ce qui a été autrefois une des plus belles roseraies du monde. Il prend pour confident l'un des moines du monastère dont dépend la roseraie, un bon vivant cinéphile à qui il parle d'amour, de corps, de vie, de mort. Il est bientôt rejoint par Anna, avec qui il avait passé un petit bout de nuit, et Flóra Sól, leur petite fille.
Rosa candida est un conte initiatique magnifique, dont le narrateur est un jeune homme attachant qui se cherche et finit par se trouver auprès des conseils de frère Thomas
et de l’amour de sa petite fille.
Ce livre, c'est quelques grammes de douceur dans un monde de brute. Il s'en dégage une atmosphère de sérénité ; on en ressort rafraîchi et réconcilié avec l’univers.
Un jeune islandais Arnljotur quitte son pays pour aller en Italie s'occuper d'une roseraie à l'abandon dans un monastère.
Un personnage touchant, candide qui aborde les autres avec douceur et simplicité. Un jeune homme simple dont le plaisir et l'unique ambition sont de faire pousser des fleurs, notamment une rose rare, héritage de sa mère.
Devenu père par hasard, il aborde cet événement avec simplicité, contrairement à la mère qui avait planifié son avenir et se rend compte qu'elle n'est pas prête.
Un rêveur, ouvert aux autres, et qui finalement s'en sort peut-être mieux que les autres.