Si vous trouvez logique que, lors de la Coupe du Monde 2018, les arbitres aient sifflé penalty sans complaisance sur la main de Piqué ou sur le placage de Mascherano, sachez que ces grands coutumiers du fait, ainsi que d'autres privilégiés jouant à Barcelone, ne sont quasiment jamais sanctionnés avec leur club en ligue des champions. Pourquoi ? Les Anglais vous répondront qu'il y a favoritisme, comme le soir de l'inoubliable Chelsea-Barcelone de 2009 ou celui du tristement célèbre Barcelone-Arsenal de 2011, où l'équipe du Barça, à chaque fois avantagée par un arbitrage très complaisant, avait arraché la qualification à ses adversaires.
Pourtant, dans l'histoire récente du football moderne, jamais un arbitrage n'aura été autant à sens unique que le soir du Barcelone-PSG de 2017. Dès le coup de sifflet final, cette "Remontada" du 8 mars divise. Certains y voient un match de légende quand d'autres critiquent la manière, peu orthodoxe, avec laquelle la qualification a été acquise. Qu'en est-il vraiment de cette rencontre ? Pour y répondre, je vous invite à venir vous asseoir à la table d'un plateau télé vraiment pas comme les autres, où il n'y a ni tabou, ni censure, ni politiquement correct.
Je vous propose de devenir le témoin privilégié du débrief sans langue de bois de la "Remontada". Découvrez ensuite le résultat d'un travail d'investigation qui fait la lumière sur les dessous " étranges " de cette rencontre et les largesses arbitrales dont bénéficient certains clubs historiques.