Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Bercé par Brel et Brassens, l'auteur grandit entre Baudelaire et Renaud, Rimbaud et Bashung.
De ces influences, il garde un ton romantique et révolté...
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Résumé
Bercé par Brel et Brassens, l'auteur grandit entre Baudelaire et Renaud, Rimbaud et Bashung.
De ces influences, il garde un ton romantique et révolté dans ce mode d'expression qu'il a depuis longtemps adopté pour exprimer les joies et les craintes que lui inspire le regard qu'il porte sur notre monde contemporain.
Je suis venu à la poésie comme je suis venu à la vie, je ne l'ai pas décidé, cela s'est fait, et j'en suis heureux.
Toute mon enfance fut marquée de l'empreinte de paroliers ou de poètes. C'est donc naturellement qu'adolescent j'ai fait mien ce mode d'expression me permettant de voguer à travers le spleen, le romantisme, ou même la révolte inhérente à mon âge.
Le temps a éclos sur les branches de mon écriture les fruits de la maturité. Mais jamais je n'ai levé l'ancre de ce port de plaisance où ma plume et mon esprit ont su rester fidèles au jour de leur rencontre. Depuis lors, je vis tous mes jours comme un lycéen sentimental et insurgé. Tour à tour je m'émerveille devant ce que l'amour peut engendrer de magique et m'indigne face à l'habileté de l'homme à détruire tout ce qui l'entoure.
L'écriture est un cri, un murmure, un éclat de rire, une larme, un partage de bonheur, une peine mutuelle, mon exutoire sûrement...
J'espère par ce recueil réveiller la sensibilité de chacun, pour autant que notre environnement ait réussi à l'endormir...
Car la sensibilité de l'être humain ne meurt jamais, on oublie simplement trop souvent de faire appel à elle...