Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Je me suis amusé, nous prévient Cicéron, à présenter comme des lieux communs les idées que les stoïciens peinent à faire accepter. " Dans Penser...
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" Je me suis amusé, nous prévient Cicéron, à présenter comme des lieux communs les idées que les stoïciens peinent à faire accepter. " Dans Penser autrement - Paradoxes des stoïciens - Cicéron expose de façon accessible à tous une doctrine dont la difficulté tient moins à la teneur qu'au langage. Qu'enseignent ces paradoxes ? Principalement, qu'il n'est de bonheur possible que dans la sagesse, celle-ci étant conçue d'abord comme une maîtrise des désirs. Invitation, donc, à penser autrement, à se déprendre de l'obsession du pouvoir et du gain. Ce qui rend les Paradoxes si attachants, c'est aussi le grand nombre de personnages, proposés comme modèles ou contre-modèles, qui contri buent à faire de l'histoire romaine le vivier dans lequel puiseront à l'envi peintres, sculpteurs et écrivains. Sans parler des maîtres et des écoliers. La traduction nouvelle de Claude Terreaux, claire et précise, permet d'apprécier l'élégance du langage et la subtilité des raisonnements du grand orateur romain.