Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
L'Orateur idéal
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- Nombre de pages89
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.065 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-7436-1910-7
- EAN9782743619107
- Date de parution15/04/2009
- ÉditeurRivages
- TraducteurNicolas Waquet
Résumé
Cicéron, dans ce long extrait de L'Orateur - traité épistolaire composé à la demande du célèbre Brutus en 46 av. J.-C. - met en lumière les différents ressorts de l'éloquence à travers la figure d'un orateur idéal. Destiné à servir de modèle dans une approche pragmatique de la rhétorique, cet archétype permet à Cicéron de définir l'art oratoire dans sa spécificité, de résumer les tâches de l'orateur, de cerner la culture qu'il se doit de posséder.
Il y traite de l'argumentation, des figures de style, de la plaisanterie, de la gestuelle, du ton, et d'autres principes encore, toujours valables et presque nécessaires aujourd'hui pour permettre de mieux comprendre et de mieux pratiquer l'art de persuader.
Il y traite de l'argumentation, des figures de style, de la plaisanterie, de la gestuelle, du ton, et d'autres principes encore, toujours valables et presque nécessaires aujourd'hui pour permettre de mieux comprendre et de mieux pratiquer l'art de persuader.
Cicéron, dans ce long extrait de L'Orateur - traité épistolaire composé à la demande du célèbre Brutus en 46 av. J.-C. - met en lumière les différents ressorts de l'éloquence à travers la figure d'un orateur idéal. Destiné à servir de modèle dans une approche pragmatique de la rhétorique, cet archétype permet à Cicéron de définir l'art oratoire dans sa spécificité, de résumer les tâches de l'orateur, de cerner la culture qu'il se doit de posséder.
Il y traite de l'argumentation, des figures de style, de la plaisanterie, de la gestuelle, du ton, et d'autres principes encore, toujours valables et presque nécessaires aujourd'hui pour permettre de mieux comprendre et de mieux pratiquer l'art de persuader.
Il y traite de l'argumentation, des figures de style, de la plaisanterie, de la gestuelle, du ton, et d'autres principes encore, toujours valables et presque nécessaires aujourd'hui pour permettre de mieux comprendre et de mieux pratiquer l'art de persuader.