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Gaspar est un artiste reconnu et sollicité. Pourtant, en ce début de printemps, il ne rêve que de quitter Paris et s'installer Campo de'Fiori, à Rome. Là, à une terrasse de café, devant un jeu d'échecs, il joue contre des amateurs de passage et savoure la beauté des jours. Un matin, une femme s'installe à sa table pour une partie. Elle s'avère être une adversaire redoutable et gagne très vite. Elle s'appelle Marya, vient de Hongrie.
L'histoire entre eux naît sur l'échiquier, avant de se déployer ailleurs, singulière et douce.
Fourmillant et trop bref
Si la parenthèse italienne est charmante, ensoleillée, elle reste trop courte. Les sujets fourmillent, effleurés puisque le nombre de pages ne permet pas à l'auteur de s'étendre davantage. Certes, Antoine Choplin signe un plaidoyer pour l'art et contre l'obscurantisme, mais un plaidoyer sans doute trop confus et bref pour atteindre son but (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/08/27/partie-italienne-antoine-choplin/)