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Leeds dans le Yorkshire. Une journée ordinaire s'annonce pour Tracy Waterhouse, chef de la sécurité dans un centre commercial. Jusqu'à ce qu'elle fasse un curieux achat, qui va bouleverser sa vie... Rebondissements et fausses pistes abondent dans ce roman qui empoigne le lecteur dès la première page et le tient en haleine jusqu'à la fin. Des années 1975 à aujourd'hui, Kate Atkinson nous plonge dans un univers d'un réalisme cru - tueurs en série, prostituées assassinées, enfants enlevés, policiers véreux - mais à sa sauce : c'est drôle, truffé de jeux de mots et d'allusions littéraires.
Parti tôt, pris mon chien confirme, s'il en était besoin, que Kate Atkinson est un des grands écrivains de notre temps.
Road Book anglais
Jackson Brodie a été arnaqué par son ex. Il a pris la route à bord de sa vieille voiture poussive pour faire la lumière sur le passé de Hope McMaster, une enfant volée à la recherche de ses parents biologiques.
Tracy Waterhouse est chef de sécurité dans un centre commercial. Elle va également prendre la route après avoir fait une transaction vraiment particulière.
Les événements et la route vont finir par les faire se rencontrer.... pour une conclusion plutôt surprenante.
Le début de l'histoire est assez embrouillé. Kate Atkinson passe d'un personnage à l'autre sans réelle logique et de façon assez déconcertante.
L'histoire est émaillé de citation d'Emilie Dickinson et de Shakespeare, certes de façon très judicieuse, mais c'est assez déconcertant.
L'écriture de Kate Atkinson est vraiment typique de la littérature anglaise, bourré d'ironie, d'humour à froid et de causticité.
Et même si l'histoire est un vrai imbroglio, elle peut passionner certains... Ca n'a pas été mon cas, je me suis ennuyée.