Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Timor oriental sera indépendant le 20 mai 2002. Il s'agira alors du huitième Etat de la Communauté des pays de langue portugaise (la CPLP). Cette indépendance,...
Lire la suite
29,00 €
Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 14 mai et le 16 mai
En librairie
Résumé
Timor oriental sera indépendant le 20 mai 2002. Il s'agira alors du huitième Etat de la Communauté des pays de langue portugaise (la CPLP). Cette indépendance, supervisée par l'ONU, aura coûté un prix terrible à la population. Après la décolonisation, tardive et ratée, de 1975, le pays a souffert d'une recolonisation atypique par l'Indonésie, avec le soutien explicite des Etats-Unis et de l'Australie, et grâce au silence complice de la plupart des pays européens, en particulier la France. Plus d'un tiers de la population a disparu dans les combats, les déplacements forcés et les massacres. La honte nationale ressentie au Portugal autour de cette tragédie obligea Lisbonne à opposer son veto aux divers accords d'association économique de l'Indonésie souhaités par l'Union européenne : Timor redevint par ce biais un enjeu international pour le régime indonésien. La reconnaissance de l'autodétermination par le nouveau régime en place Djakarta ne signifia nullement un contrôle du pouvoir politique sur l'institution militaire, habituée depuis près de vingt-cinq ans à vivre à Timor en pays conquis. Après le référendum d'août 1999 rejetant l'autonomie et se prononçant pour l'indépendance, les exactions des milices pro-intégration jetèrent le pays dans le chaos et impliquèrent enfin une intervention de l'ONU. Deux ans après le référendum historique de 1999, les Timorais, à nouveau appelés aux urnes, donnèrent la majorité absolue au parti issu de la lutte armée, le Fretilin. Le pays s'achemine-t-il donc vers une indépendance paisible ? Rien n'est moins sûr. La misère est profonde, pendant que les étrangers ayant afflué en nombre affichent un niveau de vie infiniment supérieur à celui de la population. Dans un pays détruit et hétérogène, tant sur le plan ethnique que linguistique et religieux, la plus grande attention à la diversité devra guider les nouveaux dirigeants.