Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans le Paris de la fin du siècle dernier subsistaient des lieux magiques où, le temps de quelques verres, des voyageurs immobiles pouvaient s'embarquer...
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Dans le Paris de la fin du siècle dernier subsistaient des lieux magiques où, le temps de quelques verres, des voyageurs immobiles pouvaient s'embarquer vers le rêve et l'utopie. À travers la chronique drôle et mélancolique d'un de ces derniers zincs - Le Verre à soif -, c'est tout un monde qui surgit. Celui des compagnons de " Bistrots sans frontières " et de " l'Internationale des comptoirs ". La figure emblématique du roman est un poète à l'imagination planétaire. Les grands soirs d'ivresse, il raconte ses exploits dans la colonne Durruti, son dépucelage par Rosa Luxemburg, son compagnonnage avec Che Guevara, etc. Sous les traits d'André Dhôle, François Vignes fait revivre avec émotion et humour l'écrivain et poète André Laude dont il fut un ami proche. Les Compagnons du Verre à soif a été salué par la presse lors de sa première édition et a obtenu le prix Georges-Brassens en 1998. Les Compagnons du Verre à soif est le premier roman de François Vignes.