D'abord le père est mort, puis la vieille tante, enfin le grand-père. C'est de là que naît le récit ou plutôt devrais-je dire les réminiscences, car ce livre est un livre de mémoire : les souvenirs surgissent d'un mot d'une phrase et nous emmènent dans un passé de plus en plus ancien jusqu'à arriver à la première guerre mondiale et puis d'un mot nous sommes de retour dans le présent.
Les personnages de cette grande famille s'animent, attendrissants avec leurs lubies comme la petite tante et ses images pieuses. Avec ce sens de l'expression qui le caractérise, Jean Rouaud nous
renvoie à notre propre passé et ravive en nous des souvenirs familiaux oubliés et aussi touchants.
D'abord le père est mort, puis la vieille tante, enfin le grand-père. C'est de là que naît le récit ou plutôt devrais-je dire les réminiscences, car ce livre est un livre de mémoire : les souvenirs surgissent d'un mot d'une phrase et nous emmènent dans un passé de plus en plus ancien jusqu'à arriver à la première guerre mondiale et puis d'un mot nous sommes de retour dans le présent.
Les personnages de cette grande famille s'animent, attendrissants avec leurs lubies comme la petite tante et ses images pieuses. Avec ce sens de l'expression qui le caractérise, Jean Rouaud nous renvoie à notre propre passé et ravive en nous des souvenirs familiaux oubliés et aussi touchants.