Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Elle ne paie pas de mine, la pension Vauquer, avec son mobilier avachi et son parfum rance. Et pourtant, il y séjourne de sacrés personnages, aux patronymes...
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Livré chez vous entre le 10 décembre et le 12 décembre
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Résumé
Elle ne paie pas de mine, la pension Vauquer, avec son mobilier avachi et son parfum rance. Et pourtant, il y séjourne de sacrés personnages, aux patronymes qui claquent : Vautrin, Goriot, Rastignac. Vous connaissez leurs noms, vous allez enfin les rencontrer et vivre avec eux de grandes aventures humaines. Devenez pensionnaire chez Balzac, chambre avec vue panoramique sur la vie.
L'accompagnement critique met en place les dogmes de la narration balzacienne : la description, l'omniscience du narrateur, les réseaux d'influence entre les personnages, les choix esthétiques. Plusieurs lectures (commentaire composé ou lecture méthodique) permettent une véritable entrée stylistique et sémantique dans le roman. Un groupement de textes autour de la figure de Faust met en perspective la figure de Vautrin. Roman (XIXe siècle) recommandé pour les classes de lycée. Texte intégral.
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant
dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?
L'éditeur en parle
Lecture accompagnée par Olivier Bara Devenez pensionnaire chez Balzac, chambre avec vue panoramique sur la vie.
4/5
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?