Quatre boules de cuir tournent dans la lumière
De ton œil électrique, Boxe, Boxe,
Ô déesse de pierre
Quatre boules de cuir, mes poings contre les siens,
Moi le jeune puncheur, Boxe, Boxe...
Ça swingue comme une mélodie chaloupée, un corps à corps dangereux, le bien, le mal se croisent, s'affrontent. L'amitié, l'amour ne semblent plus exister le temps d'un combat. Pierre, 27 ans voyait sa retraite sportive lui tomber dessus comme un ultime K.O., la fin du combat, mais c'était sans compter sur un nouvel adversaire, un poids lourd.
Mais ses gants et mes gants ne pensent pas de même.
Ô
déesse de pierre, pour atteindre ton cœur,
Il n'est qu'une manière, Boxe, Boxe,
Il faut être vainqueur
Quatre boules de cuir sur quatre pieds de guerre
Bombardent le plexus, Boxe, Boxe.
En boxe les coups bas ne sont pas de mise, dans la vie si. Orphelin, solitaire plaqué, Pierre voit Sergueï, son ami disparaître alors que lui se trouve embarqué dans une sombre histoire de meurtre sordide. Une enquête hantée par les fantômes du passé, les plaies de la mort et de la violence. Des coups pour se venger, des fleurs pour la rédemption.
Entre crimes politiques et boxe, Pierre titube, assommé par la réalité, frappé par le passé. Il encaisse les Serbes, évite les croates, crochète la police.
Philippe Georget nous livre un polar sur fond de boxe et de crimes de guerre dans l'ex-Yougoslavie. Un combat plein d'humour et de noirceur, cette bile de l'âme qui pousse l'être dans sa bassesse. Trois combats pour autant d'adversaires, mais aussi un combat contre soi, contre ses angoisses refoulées au fil des années, contre ses silences si douloureux.
Ô déesse de pierre, je prendrai ma revanche
Et j'aurai ton sourire, comme une maison blanche
Oui, j'aurai ton sourire, point final de mes poings
Même si dans les coins, Boxe, Boxe,
J'y vois encore luire,
Quatre boules de cuir.
Dernier round
Quatre boules de cuir tournent dans la lumière
De ton œil électrique, Boxe, Boxe,
Ô déesse de pierre
Quatre boules de cuir, mes poings contre les siens,
Moi le jeune puncheur, Boxe, Boxe...
Ça swingue comme une mélodie chaloupée, un corps à corps dangereux, le bien, le mal se croisent, s'affrontent. L'amitié, l'amour ne semblent plus exister le temps d'un combat. Pierre, 27 ans voyait sa retraite sportive lui tomber dessus comme un ultime K.O., la fin du combat, mais c'était sans compter sur un nouvel adversaire, un poids lourd.
Mais ses gants et mes gants ne pensent pas de même.
Ô déesse de pierre, pour atteindre ton cœur,
Il n'est qu'une manière, Boxe, Boxe,
Il faut être vainqueur
Quatre boules de cuir sur quatre pieds de guerre
Bombardent le plexus, Boxe, Boxe.
En boxe les coups bas ne sont pas de mise, dans la vie si. Orphelin, solitaire plaqué, Pierre voit Sergueï, son ami disparaître alors que lui se trouve embarqué dans une sombre histoire de meurtre sordide. Une enquête hantée par les fantômes du passé, les plaies de la mort et de la violence. Des coups pour se venger, des fleurs pour la rédemption.
Entre crimes politiques et boxe, Pierre titube, assommé par la réalité, frappé par le passé. Il encaisse les Serbes, évite les croates, crochète la police.
Philippe Georget nous livre un polar sur fond de boxe et de crimes de guerre dans l'ex-Yougoslavie. Un combat plein d'humour et de noirceur, cette bile de l'âme qui pousse l'être dans sa bassesse. Trois combats pour autant d'adversaires, mais aussi un combat contre soi, contre ses angoisses refoulées au fil des années, contre ses silences si douloureux.
Ô déesse de pierre, je prendrai ma revanche
Et j'aurai ton sourire, comme une maison blanche
Oui, j'aurai ton sourire, point final de mes poings
Même si dans les coins, Boxe, Boxe,
J'y vois encore luire,
Quatre boules de cuir.