Le jardin du repos - Poche

Nicolas Chapuis

(Traducteur)

,

Roger Darrobers

(Traducteur)

Note moyenne 
Kin Pa - Le jardin du repos.
Le Jardin du repos est un îlot de lumière et de tendresse dans l'œuvre souvent âpre d'un des plus grands romanciers chinois du XXe siècle, sans doute... Lire la suite
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Résumé

Le Jardin du repos est un îlot de lumière et de tendresse dans l'œuvre souvent âpre d'un des plus grands romanciers chinois du XXe siècle, sans doute parce que les personnages principaux en sont deux enfants, ainsi qu'une jeune femme pleine de bonté et de sensibilité. L'un est le fils d'un homme riche qui a dilapidé sa fortune au jeu puis achevé de mal tourner en se faisant jeter en prison pour vol. Mais l'enfant ne peut se détacher de ce père indigne dans la faiblesse duquel il décèle les signes d'une humanité que n'ont ni sa mère ni son frère aîné, froids, durs, enfermés dans leurs préjugés. L'autre, dont le père est veuf et adore son fils, se conduit au contraire en égoïste capricieux, gâté par une grand-mère qui ne pardonne pas au père de s'être remarié avec une femme jeune, belle, intelligente. Le sort va frapper les deux enfants, de façon aussi différente que le sont leurs natures. Un roman empreint d'une vérité et d'une lucidité qui le rendent universellement humain.

Caractéristiques

  • Date de parution
    06/01/2005
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-221-10375-0
  • EAN
    9782221103753
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    302 pages
  • Poids
    0.21 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 18,0 cm × 1,6 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Kin Pa

Né en 1904 à Chengdu au Sichuan, Li Feigan choisit le pseudonyme de Pa Yin (Ba Jin) pour marquer ses affinités avec Ba (kounine) et (Kropot) kine. Ses opinions libertaires le mènent à vingt-trois ans à Paris où il étudie la Révolution française et fait ses débuts d'écrivain en travaillant notamment sur Danton, Robespierre et Marat. Il publie un premier roman, Destruction, volet initial d'une fresque abandonnée, puis retourne en Chine, voyage encore, enfin s'installe à Shangai pour écrire. Son chef-d'œuvre, Famille, paraît en 1933. Portrait de la décomposition de la famille face à la révolte de la jeune génération, ce premier tome d'une trilogie sera suivi par une œuvre abondante au sein de laquelle on remarque notamment Nuit glacée, préfacé en France par Étiemble. À partir de 1949, en charge de fonctions officielles, il s'arrête de publier. Pendant la révolution culturelle, suspecté pour son passé anarchiste, il sera envoyé dans une école de rééducation des cadres. Libéré en 1973, réhabilité par la suite, il peut écrire de nouveau et son nom est cité à plusieurs reprises pour le prix Nobel. Le centenaire de sa naissance a été célébré avec faste, notamment à l'hôpital de Huadong où le doyen des Lettres chinoises réside depuis plusieurs années.

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