Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
En 1944 le narrateur perd sa mère dans un incendie. L'orphelin grandit auprès d'un père affectueux et de ses grands-parents. Il est choyé, ne manque...
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Résumé
En 1944 le narrateur perd sa mère dans un incendie. L'orphelin grandit auprès d'un père affectueux et de ses grands-parents. Il est choyé, ne manque de rien sauf peut-être d'un souvenir de sa mère, une image d'elle qui aide sa mémoire de petit garçon. Devenu un homme, cette image absente continue de l'obséder. En lisant l'histoire de l'enfance de Léonard de Vinci, il découvre que l'énigmatique Mona Lisa ne serait en réalité que l'idéalisation de la mère du peintre disparue quand il était enfant. La Joconde fascine le narrateur et tout s'emballe. Une folie douce s'empare de lui. Tous ceux qui le rencontrent voient en lui l'image de leur mère. Il est devenu la mère de tous ! Le fils de la Joconde, c'est l'histoire d'une quête fantaisiste, aussi bien qu'une allégorie ou une parabole. Du conte à l'essai psychanalytique, du rêve éveillé aux confins de la folie, Auguste Corteau se joue de nous et de lui-même. Préserver son âme d'enfant pour se faire peur, s'émerveiller... Tel est le fil conducteur qui nous mène à ce cocktail inimitable de sarcasme, d'autodérision et d'hilarante absurdité.