Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
L'étude du Crime à la ville et à l'écran a l'immense avantage de détourner les regards convenus. Elle s'attache à l'envers des choses de la vie...
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Résumé
L'étude du Crime à la ville et à l'écran a l'immense avantage de détourner les regards convenus. Elle s'attache à l'envers des choses de la vie américaine : l'envers de la prospérité et du business des années vingt, l'envers de la Grande crise de 1929, l'envers du New Deal et celui de l'après-guerre de Truman ou d'Eisenhower. Avec le crime organisé, on effectue une visite guidée de l'" autre Amérique ", celle que les Américains eux-mêmes, à force de vouloir l'ignorer, ont failli laisser ronger la République idéale. L'art, comme toujours le meilleur des antidotes, a réussi là où les bulldozers de l'idéologie démocratique avaient échoué : emprisonner les nuisibles dans une histoire, les écraser implacablement sur une toile d'argent, où leurs gesticulations ne menacent plus personne. Après tout, si le crime organisé fut un échec social et politique, sa vision cinématographique n'en fut-elle pas le plus grand succès ? En 1929, c'est parce que le film se met à parler que le crime y trouve une voix, ou un accent. Dès lors, le gangster effraie et séduit, la censure se renforce, mais le cinéma donne à cette voix contrainte son urgence et une subtilité qu'on n'attendait pas.