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COUP DE CŒUR SÉLECTION JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE LA FEMME
Jean Atwood brillante interne chirurgienne gynécologue est envoyée pour son dernier stage dans la minuscule et discrète unité de "Médecine de la Femme" . Major de sa promo et fascinée par le bloc opératoire, Jean refuse de perdre sont temps à écouter les jérémiades de bonnes femmes. Son arrogance va fondre au contact d'une équipe dévouée, de patientes touchantes, pour la plupart désemparées, et au constat de ses propres lacunes de médecin. Un roman fort sur la relation soignant-soigné qui interroge sur
la toute puissance du praticien et sur les soins apportés aux femmes.
Jean Atwood, jeune interne brillante et ambitieuse, doit passer 6 mois dans la section 77 "Médecine de la femme" avant d'obtenir un poste de chef de clinique. Elle n'en a aucune envie et compte bien le faire savoir au Docteur Karma, le responsable du service. Mais elle ne se doute pas le moins du monde que cette rencontre va bouleverser sa vie privée et professionnelle.
Un roman pleins de rebondissements, qui nous transporte dans tous les sentiments, le rire, la peur, la tristesse, le bonheur,
A dévorer.
Un livre géant de vérité, d'humanité. Côté médecin ou côté patiente nous sommes tous, tout à la fois l'un et l'autre. D'abord humain.
Au fil des pages j'ai été prise par l'histoire, par le respect, je voulais toujours en savoir plus sur ce que l'auteur avait à dire. Je n'étais plus seule, ni en tant que médecin, ni en tant que femme.
ça parle des médecins, des femmes, des hommes et de ceux qui se sont les deux, ça parle de le médecine aussi, de la violence et de la douceur que nous portons tous en nous.
En une semaine, Jean ATWOOD, jeune interne diplomée, brillante, intelligente, voit sa vie basculer au cours d'un stage. Tout ce qu'elle a appris ne lui sert à rien si elle ne met pas de l'humanité dans son travail. On assiste à la métamorphose d'un médecin "mécano" à un médecin humain qui ne soigne pas seulement les corps mais aussi les âmes.
Les différents chapitres font apparaitre beaucoup de personnages ce qui donne un rythme au livre. A part quelques temps un peu longs (pour une lectrice peu intéressée par les recherches médicales), le livre se lit très bien.
A la fois roman mais aussi, et peut être surtout, recueil de témoignages, ce livre nous offre une regard bienveillant sur les femmes, leurs difficultés, leurs forces aussi face à leurs vies sexuelles et amoureuses.
C'est l'expérience d'un médecin généraliste qui gère un petit service de gynécologie et l'arrivée d'un interne dans son service qui permettent cette immersion dans ces vies.
On resort de cette lecture plus riche, plus informé et peut être aussi plus tolérant. Enfin, pour les femmes, pas pour les gynéco.
Un roman ? Peut-être. A lire comme une immersion dans le milieu gynécologique où les IVG font aussi parties des consultations. Ce livre est un plaidoyer sur la relation soignant-soigné où le prendre soin prend toute sa dimension.
Jean (Jinn) est une jeune interne en 5ème année de médecine qui vit mal l'idée d'effectuer un stage de six mois dans une Unité de consultation de la Femme. Il faut dire qu'elle rêve de faire de la Chirurgie gynécologique, rien à voir avec ces consultations où il faut écouter des femmes à longueur de journées qui racontent leur vie. Il est où le soin
? Le "patron" du service est un médecin généraliste atypique qui va lui enseigner l'Art de l'écoute des patientes qui viennent consulter dans cette Unité complètement à part dans le milieu médical.
Ce livre est bien écrit et instructif, surtout pour celles et ceux qui souhaitent savoir ce qui se passe dans le bureau des soignants. Mais il ne faut pas se leurrer. Si ce genre de pratique médicale existe, et je pense que Martin Winckler, médecin généraliste est un adepte de cette conduite, celui-ci est malheureusement trop rare dans la vraie vie pour se convaincre d'une posture aussi humaniste soit elle. Bien sûr, l'écoute, le non jugement et l'accompagnement dans le prendre soin sont importants, les patients l'ont bien compris et ce livre sur les consultations gynécologiques le prouve. Mais, parfois, la réalité relation médecin-patient est loin d'être aussi prévenante.
Sur l'aspect romancé du livre, l'intrigue (oui, il y en a une) est intéressante mais la chute décevante. Non sincèrement, je conseille ce livre pour l'approche soignante qui est présentée.
Notre naissance, notre enfance, notre adolescence font de nous la personne que nous sommes et si on n'ouvre pas les yeux sur ce qui nous sommes vraiment, on peut faire fausse route.
Ecouter les autres, les comprendre fait partie d'un travail sur soi-même. C'est ce qu'apprend le Docteur Atwood qui a une forte carapace qui cache tellement de choses.
Je préfère le docteur Atwood de la fin du livre que celui du début.
Et très bien écrit, j'ai vraiment adoré et c'est pour cette raison que j'arrive à passer outre la fin que je n'ai pas comprise ou en tous cas que j'ai trouvé inutile
un peu long peut être, mais tellement enrichissant, et éclairant sur les rapports entre médecins et patients dans le contexte particulier des soins aux femmes !
Il me semble difficile de ne pas tomber sous le charme, surtout si l'on est une femme. Par contre, je serais très curieuse d'avoir un avis masculin sur ce roman. Bien sûr, le docteur Karma est trop parfait, humain et à l'écoute, innovateur dans ses pratiques mais heureusement, j'ai eu l'impression de reconnaître mon médecin de famille (l'aspect innovant en moins) dans certaines pratiques, ce qui prouve qu'il existe des hommes comme lui. Malheureusement, j'ai aussi reconnu mon ancienne gynéco (et oui, une femme pourtant) dans l'anti-Docteur Karma qui officie à la clinique. Bien sûr aussi, la fin est too much, cette histoire de famille est maladroite mais elle m'a semblé importante pour expliquer les abus de la médecine. Et il y a des personnages bien farfelus dans ce roman, comme celle qui tente d'étrangler Jean. Ce que je retiens surtout de ce roman, c'est le rêve d'une autre médecine, ce sont ces pratiques différentes qui ne font plus écarter les jambes des femmes pendant un examen, ce qui ne traumatiserait plus les jeunes filles venant pour une première visite. Je
Ce livre est instructif, pédagogique. L'auteur développe un point de vue tellement nécessaire à la relation entre les soignants et les soignés. Son approche empathique rend les personnages attendrissants et nous pousse à poursuivre la lecture.
Effectivement, certains passages sont un peu longs mais il y a toujours un petit quelque chose pour nous retenir.
Une jolie histoire clôturée par une fin heureuse, un tantinet idéalisée, tirée par les cheveux mais l'essentiel est ailleurs!
Un sujet qui aurait pu être intéressant, il tourne en boucle ....décevant de cet auteur, qui nous livre une histoire finalement creuse, des consultations gynécologiques, entre coupées de platitudes....
D'accord, Isa, tu avais raison, ce livre est LE livre à lire et à faire lire à toutes les femmes (et aux hommes aussi, y'a pas de raison).
J'avais été déçue par les derniers romans de Martin WINCKER que j'avais lu, alors que j'avais adoré "La maladie de Sachs" à l'époque. Ce roman me réconcilie avec l'auteur.
Certes, il est plein de bons sentiments et le personnage de Jean est un peu grossi, mais je me suis laissée prendre au jeu et j'ai adhéré.
La fin est un peu "happy end" elle aussi, malgré cela j'ai quitté à regret les personnages attachants de ce livre.
Pour faire
ma mauvaise tête, je dirai que j'ai trouvé un peu longs les passages de témoignages, mais je les ai tout de même lu jusqu'au bout.
Pas un coup de coeur toutefois, mais un livre à emporter avec soi chaque fois que l'on va consulter un spécialiste ou à l'hôpital, histoire de se remettre en mémoire que les médecins sont d'abord et avant tout des soignants qui doivent être à notre écoute.
L'image que je retiendrai :
La première image de Jean au début du roman, col relevé, stéthoscope en bandoulière, sûre de son savoir universitaire.
Choisi d'après la quatrième de couverture et pour mon intérêt pour ce qui touche au médical. On est intrigué par la conversion de ce jeune médecin, dont je n'ai compris de qui il s'agissait vraiment qu'après une cinquantaine de pages. Le ton de son mentor est parfois un tantinet mielleux et agaçant car trop lisse. Mais ce sentiment est une des choses qu'on partage avec la narratrice. La chute est surprenante, un peu tirée par les cheveux et gâche finalement le plaisir. Fallait-il en faire autant ? Un bon "ils vécurent ... et eurent ..." aurait aussi bien fait l'affaire.
Ce livre m'a plu et après l'avoir lu on voit les gynécologues d'une autre façon.On nous y raconte l'histoire de Djiin (dit jean ) une interne de 5 eme année et elle doit effectuer un stage de 6 mois a l’unité 77, et y va a contre coeur mais au bout d'une semaine déjà on voit que sa vision des choses a changer ....
La jeune interne Jean Atwood est à deux doigts d'obtenir son poste de chef de clinique en chirurgie gynécologique mais, avant, elle doit absolument valider un stage dans l'unité 77.
Ambitieuse, sûre d'elle, virtuose du bistouri, elle va d'abord devoir apprendre la patience car elle va travailler avec le Docteur Karma, un gynécologue à l'écoute de ses patientes.
Entre les deux, les choses ne partent pas sur les meilleurs bases mais Jean laisse finalement sa carapace se fendiller et comprend qu'elle a beaucoup à apprendre de ce médecin philanthrope.
Ce livre dénonce très clairement
cette médecine de la performance qui a oublié qu'elle soignait des Hommes.
Comme pour chacun de ces romans, Martin Winckler défend la médecine de l'écoute. Il met en avant l'importance du relationnel, que ce soit pour le médecin ou pour le patient.
A travers le personnage de Jean Atwwod, il dénonce la formation ou plutôt la déformation des étudiants en médecine. Alors que pour la plupart, ils choisissent cette voie avec cette envie d'aider les autres, on se rend compte qu'à un moment tout bascule et seule la performance compte.
La faute à qui ?
Sûrement une multitude de facteurs : le manque de moyen, le manque de personnel, le manque de repos, le manque de soutien, le manque de transmission et sûrement aussi des hommes et des femmes qui ne sont pas faits pour ce métier...
Le petit hic, c'est que ceux qui en subissent les conséquences, ce sont les patients et leur entourage.
Et cette année m'a maheureusement donné beaucoup d'exemples de ce manque d'humanité.
Je vous en livre 2 assez représentatifs.
Alors que j'étais enceinte de 7 mois et que ma mère vivait ces dernières heures, j'ai passé 2 nuits à dormir par terre dans une pièce en face sa chambre. Le seul lit d'appoint disponible était déjà pris !!!
Ensuite le lendemain de son décès, j'avais une échographie prévue avec ma gynécologue habituelle. Je la préviens que mon chéri et moi, on risque de s'effondrer en voyant l'échographie et là rien. Même pas un petit mot de sa part, elle ne dit rien. La consultation dure 10 minutes et puis " bonne journée " !!!
Alors ce roman, dans lequel ce médecin écoute les femmes, leur explique qu'elles ont plusieurs choix dans leur contraception dans leur façon de se faire ausculter..., ça m'a parlé et je pense que ça parle à toutes les femmes.
Le personnage de l'interne est très intéressant.
Elle passe d'une fille détestable à une femme qui touche, qui émeut et qu'on finit par admirer.
Vous l'aurez compris, il faut lire ce roman, il est tout simplement passionnant.
Merci Monsieur Winckler, j'aime vos livres et j'aime votre réflexion !!!
Ce livre aura toujours une place particulière dans ma bibliothèque !
Il m'a fait ouvrir les yeux sur un monde que je connaissais peu et surtout je n'ai plus honte aujourd'hui d'aller chez la gynéco, ou de parler de mes problèmes de pilule en ayant peur d'être une aliénée !
Un livre à mettre dans toutes les mains !
Jean Atwood doit finir son internat dans le service de consultation gynécologique du docteur Karma. Elle a entendu parler de lui et sait que ce n'est pas un bonhomme facile. Il peut à tout moment la renvoyer.
Elle découvre avec stupeur qu'il ne fait qu'écouter ses patientes et leurs problèmes en tout genre. Il n'examine que rarement et quand il le fait ce n'est pas de manières déontologique. Qui est ce docteur qui se soucie des problèmes de ses patientes ?
Un livre qui parle des femmes, de leurs problèmes mais aussi des médecins parfois “trop
formatés”.
Jean Atwood, jeune interne brillante et ambitieuse, doit passer 6 mois dans la section 77 "Médecine de la femme" avant d'obtenir un poste de chef de clinique. Elle n'en a aucune envie et compte bien le faire savoir au Docteur Karma, le responsable du service. Mais elle ne se doute pas le moins du monde que cette rencontre va bouleverser sa vie privée et professionnelle.
Un roman pleins de rebondissements, qui nous transporte dans tous les sentiments, le rire, la peur, la tristesse, le bonheur,
A dévorer.
Une histoire de femmes, d’un service de gynécologie, où se font face, s’affrontent, différentes approches de l’humain, du patient.
C’est un roman polyphonique où de nombreuses voix résonnent. A celles des femmes, fait écho celle du médecin qui, avec empathie et sensibilité, apporte des réponses et réconforte.
Une jeune interne aux dents longues intègre ce service et va découvrir au fil des rendez-vous une autre manière de considérer le patient, ces femmes et leur histoire.
Un roman que toutes les femmes devraient avoir lu, un roman à offrir et à partager sans compter !
Jean Atwood vient d'arriver dans le service de gynécologie du docteur Franz Karma.
A partir de cette trame, Martin Winckler nous donne à écouter une polyphonie de voix de femmes. Elles sont venues consulter pour une contraception, une IVG, une grossesse et parlent d'elles de leur vie, leurs attentes, leurs angoisses vis-à-vis de l'amour, la sexualité, la différence, la maladie.
Un roman qui sonne très juste.
C'est un livre, à mes yeux, très bien écrit.
On prend le temps de rentrer dans la vie du Docteur ... tout doucement, tout simplement .... avec une accélération au milieu du livre .... j'ai vraiment apprécié.
Les nombreux sujets abordées sont intéressants.
C'est sur, je ne verrai plus mon gynécologue de la même façon.
Même si je me retrouve en tant que femme et patiente, proche de ce que peuvent ressentir les femmes qui se dirigent vers cette clinique, j'ai trouvé le livre trop long. Le personnage de Jean ne m'a pas accroché du tout, j'ai trouvé la fin invraisemblable.
Quelques passages trainent en longueur, j'ai mis beaucoup de temps à le lire, je n'ai pas séduite.
ce roman est beaucoup trop long, certains passages sont même ennuyeux, même si effectivement on veut savoir comment se termine l'intrigue..............
Si le sujet ne manque pas d'originalité et de "preuves à l'appui", il pêche par un style médiocre et de trop nombreuses longueurs. La démonstration de l'auteur est faite relativement vite. Les personnages quant à eux sont attendus et l'intrigue parait factice.
On se surprend néanmoins à le lire jusqu'au bout...
Je lui préfère cent fois Middlesex, de Jeffrey Eugenides.
J'oscille entre deux sentiments après cette lecture, celui du "déja vu" , peu d'inattendu où tout paraît déja conté, dit d'avance et un peu long mais aussi celui d'avoir été envoûtée par ce récit d'une jeune interne Jean qui se découvre une vie et une histoire, où l'on se laisse porter par des sentiments et des épisodes proches de notre vie de femmes.
Ce qu'une femme ressent est plus important que ce que tu sais.
Dans le Chœur des femmes, Martin Winckler raconte l’histoire d’une femme d’une trentaine d’année, finissant ses études de médecine. Jean Atwood doit effectuer un stage de 6 mois dans une minuscule unité de " Médecine de La Femme ", qui ne l’intéresse pas, elle y va vraiment à contre-coeur, complètement énervée, suffisante, pleine de préjugés et de certitudes. Son maître de stage est un médecin généraliste, même pas gynécologue.
Ce livre a beau être une œuvre de fiction, il est tiré de beaucoup de faits réels, Martin Winckler étant médecin généraliste militant féministe français et ayant travaillé en gynécologie. On a donc beaucoup de discours, de dialogues et de passages médicaux, des témoignages de femmes sur un panel extrêmement large sur les femmes, leurs problèmes, leurs peurs, leurs interrogations … L’histoire se passe sur un peu moins de deux semaines et le livre fait presque 700 pages ! Il est très dense, les témoignages des femmes et les consultations sont détaillés, Jean Atwood et son médecin ont beaucoup de discussions approfondi sur énormément de sujets, avec plusieurs points de vues, changeant au fur et à mesure de l’histoire. C’est génial d’avoir ces différents avis, ces approfondissements, cela remet pas mal de choses en question et amène à réfléchir sur notre corps, nos douleurs, notre sexualité, mais aussi sur d’autres sujets comme l’intersexualité, les violences gynécologiques, les IVG, les viols, …
Un roman magnifique et puissant !