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Tous nos livres d’occasion ont leurs propres histoires en plus d'en raconter une.
Cependant, un contrôle minutieux est effectué par nos équipes afin de vérifier qu’ils respectent notre charte de qualité. A savoir, des livres lus peu de fois pouvant présenter des traces d’usure ou de vieillissement, mais qui ne nuisent pas à la lecture.
La couverture et le dos peuvent présenter de petits défauts. Le papier avec le temps peut être jauni sans pour autant gêner la lecture. Toutes les pages sont présentes. Des livres à lire et relire encore et encore…
*Photo non contractuelle. L'édition livrée peut différer de celle commandée.
Dans l'Allemagne nazie, une petite orpheline juive, Liesel, réussit à échapper par plusieurs fois à la mort. Celle que l'on nomme la Voleuse de livres cache un secret qui lui permet de survivre dans cette période sombre de l'Histoire.
Ce conte envoûtant et sublime est un véritable chef d'oeuvre.
Ce livre m'a bouleversé tout au long de sa lecture. Dès les premières lignes j'ai été embarquée dans ce récit particulier, pour ne pouvoir en décrocher qu'au dernier mot. Ce roman, qui se déroule dans une petite ville allemande pendant la seconde guerre mondiale décrit à la fois la guerre, les jeunesses Hitlériennes, la problématique des Juifs du point de vue allemand (pour ma part, je n'avais jamais lu ce point de vue) mais aussi comment le pouvoir des mots peut mener à cette situation... finalement, je trouve que ce livre nous offre un intéressant écho à l'actualité et nous force à réfléchir à nos non-choix (ou choix discutables) d'aujourd'hui.
Liesel est juive, pauvre, analphabète et devient orpheline du jour au lendemain. Un couple d'allemands décident alors de la recueillir au milieu de l'angoisse de l'Allemagne nazie. Un lien très fort se tisse entre celle que l'on surnomme la "Voleuse de livres" et son nouveau "Papa" qui l'aide à apprendre à lire. Peu à peu, la lecture devient sa raison de "survivre"...
Un roman bouleversant, aussi bien à destination des ados que des adultes. En ce qui me concerne, ce fut un choc d'émotions..!
Liesel est une jeune orpheline juive adoptée par un couple d'allemands, dans l'Allemagne nazie. Analphabète, elle va vite devoir se pencher sur l'apprentissage de la lecture pour ne pas être la tête de Turc de son école. Et, emportée par le pouvoir des mots, ce qui n'était au départ qu'une obligation va très vite se transformer en véritable amour. Un amour qui lui vaudra très vite ce surnom, la Voleuse de Livres.
Racontée par la mort elle même, une mort étonnamment compatissante et attachante, cette histoire m'a véritablement transportée. Parfois drôle, parfois émouvante,
l'aventure de Liesel est de celles, une fois lues, qui ne s'oublient pas. Une véritable pépite à lire et relire !
J'ai adoré ce livre et le mot qui me vient pour le décrire est doux. Pourtant le contexte est loin d'une quelconque douceur. J'ai aussi beaucoup aimé avoir le point vue des allemands dans cette 2ème guerre mondiale; cela m'a fait pas mal réfléchir sur le fait que ça aurait pu être nous: pas d'accord mais pas le choix.
Je conseille vivement.
Une très belle histoire au style narratif original puisque l'histoire est conté par la mort. Liesel jeune allemande découvre la puissance des mots et de la lecture au sein de la tourmente de la seconde guerre mondiale...
La blogosphère regorge d'avis positifs sur ce roman. Je l'avais donc mis dans ma LAL et, pour mon anniversaire, mes amies me l'ont offert. Il était d'autant plus évident dans ma liste qu'une adaptation fait grand bruit en ce moment.
J'avoue ne pas avoir compris l'intérêt de poser la Mort en narratrice, si ce n'est un tour visant à intriguer. Certains crient à l'originalité, moi je l'ai ressenti comme une astuce pour justifier un style lourd. Car celui-ci ne m'a pas du tout convaincue. Il faut passer outre, mais avouez que sur plus de 500 pages c'est assez compliqué. D'autant que je
n'ai pas du tout suivi les métaphores sur les couleurs et les sons. Et le ton est faussement détaché sous prétexte de cynisme, qui n'en est pas tellement puisque la Mort reconnaît une forme d'attachement à cette petite fille si pleine de vie et qui la défiera par trois fois. Tout cela freine grandement mon adhésion à ce récit, qui aurait pourtant eu toutes les cartes pour m'emporter.
La guerre, la passion des mots, l'amour, la mort, la haine, le fanatisme, le courage et la solidarité, tout cela s'imbrique pour tisser une histoire émouvante. L'horreur se devine par moment mais reste en dehors du cadre la plupart du temps. Et c'est en fait à un roman d'apprentissage que le lecteur est confronté. Liesel Meminger est confiée à une famille adoptive car ses parents sont communistes. Au cœur de l'Allemagne nazie, il vaut mieux être prudent, alors sa mère biologique va tenter de sauver ses enfants en les confiant à d'autres. Liesel va donc grandir, au 33 Himmel Strasse dans une petite ville près de Munich, en faisant attention et en apprenant à taire ce qu'elle ressent. Ou au moins à être attentive à qui elle parle. Car les mots ont un grand pouvoir, comme elle le découvre. Ils sont les témoins des tristesses et des joies, des grandes douleurs et des petits bonheurs si chers. Son père adoptif qui joue de l'accordéon, sa mère adoptive qui l'insulte tendrement, Max qui se bat grâce à elle, Rudy toujours à ses côtés.
L'idée de se positionner du côté des civils Allemands, de ceux qui ont laissé faire ou n'ont pas pu intervenir, est assez originale. Cela rappelle, surtout dans les temps actuels, que les généralités sont dangereuses. Oui, tous les Allemands n'étaient pas mauvais. Du coup, les personnages qui entourent Liesel sont attachants. Mais cela manque un peu d'analyse et tend à expliquer pourquoi ce roman est parfois mis dans la catégorie littérature de jeunesse. L'auteur montre bien que l'humain est capable du pire comme du meilleur mais de façon assez grossière.
Comprenons nous bien, j'ai été émue à la fin de ce roman, comme beaucoup, car Liesel est une force de la nature attachante. L'intérêt qu'elle porte aux livres, la fascination même, ne peut que parler à une livraddict. Mais le parti pris de la narration, si ce n'est le style de l'auteur, ne m'a pas permis d'adhérer totalement.
http://nourrituresentoutgenre.blogspot.fr
Je m'attendais à plus vu tout ce que j'ai pu lire comme bonnes critiques sur ce livre. L'histoire racontée par la Faucheuse est originale mais je l'ai senti artificielle. Elle est présente mais pas assez à mon sens. J'avais déjà lu des histoires de guerre côté allemand et pour moi, c'est une histoire bouleversante comme tant d'autres. Ceci dit, j'ai beaucoup aimé, l'ai lu d'une traite et je le recommande vivement car on s'attache fortement aux personnages et l'émotion à la fin est terrible... Oui un bon livre mais je pense que j'avais mis la barre trop haute au vu de toutes les excellentes critiques. J'ai lu aussi que c'était une forme de conte. Non, pour moi un conte ce n'est pas ça. Parlons juste d'originalité (un peu...)
La Mort, narratrice originale de ce roman, nous raconte l'histoire de Liesel et de sa famille nourricière, un histoire qui l'a touchée, prouvant par là qu'elle est bien plus humaine qu'on ne le croit, bien plus humaine que l'homme lui-même surtout en cette période particulièrement inhumaine que fut la période nazie en Allemagne et la deuxième guerre mondiale.
L'histoire débute par le trajet en train de Liesel accompagnée de sa mère et de son petit frère. Liesel est fille de communistes traqués par le régime nazi. Sa mère a donc décidé de confier ses enfants à une famille
nourricière. En chemin son petit frère meurt et lors de son enterrement, un livre tombe de la poche de l'un des fossoyeurs, ce sera son premier vol de livre. Un livre qui sera comme une bouée pour elle, même si elle ne sait pas encore lire.
L'arrivée de Liesel dans sa famille d'accueil est difficile, Rosa Hubermann, sa mère nourricière apparaît au premier abord comme une digne héritière de Madame Thénardier dans les Misérables, le père, Hans est quant à lui un homme bon qui prend tout de suite la jeune fille sous son aile.
La jeune fille s'acclimate finalement plutôt bien à sa famille d'accueil, avec son nouveau père elle apprend petit à petit à lire. Elle accepte, les insultes de Rosa qui sont en fait les signes d'une affection qu'elle ne sait pas montrer. Elle se fait des amis avec qui elle joue au foot, surtout Rudy avec qui elle va voler des livres chez une des clientes de sa mère, la femme du Maire.
En cette période troublée, la famille Hubermann, va montrer son vrai visage en recueillant un boxeur juif, en le cachant dans sa cave pour le soustraire à la traque nazie. Une profonde amitié va naître entre Liesel et lui, une rencontre qui va marquer la vie de la petite fille.
La voleuse de livres est un superbe roman, un roman qui parle des mots. Les mots qui convainquent comme les mots de la propagande nazie, des mots de haine, des mots d'exclusion. Des mots qui rassemblent comme les mots des livres volés qui rassemblent Liesel et Hans quand ce dernier lui apprend à lire. Des mots qui soulagent quand Liesel lit ses livres à voix haute dans l'abri souterrain lors des bombardements. Bref, un roman à mettre entre toutes les mains et dont l'adaptation cinématographique sort aujourd'hui.
La voleuse de livres est certainement l'un des livres les plus beaux et les plus émouvants que j'ai jamais lu. Moi qui ai d'habitude des réticences pour choisir des livres qui se déroulent pendant la Seconde guerre mondiale, je ne regrette pas une seconde cette lecture, originale et puissante, qui des années après me bouleverse encore...
J'espère vraiment que le film qui sort le mois prochain lui rendra honneur !
‘There’s a multitude of stories (a mere handful, as I have previously suggested) that I allow to distract me as I work, just as the colours do. I pick them up in the unluckiest, unluckiest places and I make sure to remember them as I go about my work. The Book Thief is one such story’
And a poignant one. It is Liesel’s story, which starts in 1939 in the German town of Molching. The nine-year-old girl is sent to live there with a foster family and starts her new life on Himmel Street with encounters, friends, football games, school… and thievery, especially book thievery. But war is
raging in the country and the rest of the world, and nobody is safe.
Although it might first appear like a rather conventional plot, Liesel’s story is undoubtedly moving. Is it because of the theme, which is at the same time emotional and terrible? Is it because of the touch of humour that characterises the narrator’s voice? Is it because of the poetic style of the considerations on the power of words? Is it because of the agreeable and light writing? Is it because of the characters themselves and their ability to survive even in the most desperate situations? Is it because of the unusual graphic design of the book? It is probably the sum of all these little details that make The Book Thief such an extraordinary and unique novel.
Most readers’ attention will probably first be attracted by the visual aspect of the book. The cover seems to be a good mirror of what will be discovered inside, and so are the back cover and its short summary: something plain, elegant, sad, and yes, intriguing and unusual. There are hundreds of books about the Holocaust, but this one is not like any I have read before.
The story is composed of ten main parts, which are themselves divided into short chapters. Each of them includes comments and precisions given by the narrator, sometimes with lists, bullet points, definitions or even sketches and drawings. The changes in font and style give an extremely attractive appearance to the novel. On the back cover summary, we are already given a good insight of what will be told and why… as well as a useful piece of information about the narrator.
Those who have started the book without reading this extract might wonder who is telling them the story. Who is that strange person who addresses us in a casual way and who is obviously not a human being, although he lives among them? It is nobody else that Death. The idea of choosing such an unconventional narrator was a masterstroke, as it offers various advantages. Of course, he is unusual and for that reason also attractive. Moreover, it enables the author to vary the point of view. Although Liesel’s story and that of her friends, enemies and family is the most important one, the dramatic events that are taking place in the world can simply not be neglected.
Markus Zusak wrote about the Holocaust, but rather than focusing on the camps or on battle scenes, he describes the lives of several rather conventional characters in a small town. He does not try to make us hate Hitler’s supporters or commiserate with the Jews. He describes the events and the characters and the reader is left to make up his own opinion. We can easily imagine that hundreds of other families had the same daily routine as the inhabitants of Himmel Street. Some were on the Führer’s side, others helped Jews… what is sure is that war had an important impact for all of them, even the ones who did not want to be involved, even the elderly people and the children… like Liesel.
Casting Death as the narrator enables shifts between global events and the particular situation of Molching, as well as an insight into various people’s lives, which would not have been the case if Liesel was telling the story on her own. Also, the time of the story is not linear: we have many flashbacks and shifts in the future, which captivate the reader’s interest from the first word to the last. Although we are given clues about event that are to take place later on, the suspense is kept all the way and we are always waiting for one more twists and turns in the plot.
Markus Zusak’s writing style is light and easy to read. We have the feeling that we are addressed directly and thus really involved in the story. The presence of several German words or sentences – and their translation, added in a simple and natural way, for those who do not understand this language – give a local taste to the description and take us straight to Himmel Street in the 40s. You do not read the story: you live it.
Several passages are moving and some contain a touch of humour which is welcome or even indispensable when you explore such a serious theme. The author uses a wide range of extremely meaningful images and metaphors, which successfully add to the depth of the story. The colours are important for Death, as you will discover in the first pages. The power of words is analysed by Liesel in a beautiful way as the story unfolds and will probably leave more than one reader with pensive thoughts.
The characters are all detailed and well developed. Liesel is clearly the heroin, but each of the characters she encounters has got enough space for his own personality to evolve and for the reader to grow attached to him: Hans and Rosa Hubermann, Rudy, Ilsa Hermann, Frau Holzstapel, Max Vandernburg… In my opinion, The Book Thief illustrates in an accurate way what happens at war. In a single town, on a single street, you will find a mix of people: soldiers, fanatics, neutral people who do not want to take sides, hidden Jews… and so do unexpected and unbelievable relationships form and develop. In a hostile universe, people have no choice but cooperate and trust one another… or at least try to. This is what wonderful stories are often made of.
The Book Thief is no fairy tale – although you will find at least one among its pages – and it does not finish with a ‘happy end’. The last chapters are tragic but nonetheless magnificent. Despite my great sadness when I discovered what happened to Himmel Street and its inhabitants, I must admit that this ending perfectly matches the tone of the story. Most readers will probably find themselves with tears rolling down their cheeks as the inevitable happens… and after more than 500 pages, they will be wondering how he reached the end of the story without even noticing it.
A wonderful, poignant novel which is unique in its genre despite the popular theme it deals with. A heart-warming Holocaust fiction like you have never read before!
C'est un livre intéressant qui mérite d'être lu du fait que le livre est relaté par un personnage qui se veut extérieur à l'histoire mais qui est omniprésent.
Le reproche majeur que l'on peut faire est le fait qu'il est des révélations au fur et à mesure qui font qu'on ne découvre pas se qui arrive 4 chapitres plus loin parce qu' on le sait déjà ce qui est arrivée.
L’ayant réacquis suite à la disparition soudaine de l’un de mes livres fétiches (prêté, jamais rendu), je l’ai donc racheté comme je le disais à Bookoff, et il est donc normal d’en faire une petite critique.
La Voleuse de livres a pour première originalité d’avoir pour narrateur la Grande Faucheuse. Celle-ci est assez drôle, très ironique, presque cynique, elle nous raconte l’histoire d’une petite fille et de la façon dont elle lui échappe à plusieurs reprises. Tout cela avec un côté historique avec la Seconde Guerre mondiale en toile de fond.
La Mort porte un
œil cynique sur cette folie des hommes qui se font la guerre et s’entretuent, je l’ai trouvée presque compatissante envers Liesel de temps en temps. Les personnages sont touchants, émouvants. Rudy et sa passion pour Jesse Owens, au point de se gribouiller le visage de charbon et de s’entrainer à courir la nuit … Je l’ai trouvé vraiment mignon et que dire de Hans, un père adoptif formidable, même s’il ne remplit pas vraiment ce rôle là, il est plus comme ami, confident … Au cours de l’histoire on assiste également à la passion, qui se traduisent sous la forme des petits larcins de Liesel, ses vols de livres (même si parfois, on lui offre il faut bien l’avouer).
Ainsi dans ce livre, la Mort s’adresse à nous, mais elle ne nous apparaît pas de façon effrayante, elle reste très drôle, très sarcastique et on oublie qui elle est, même si dès le début, elle nous annonce la couleur.
« Un détail : Vous allez mourir. En toute bonne foi, j'essaie d'aborder ce sujet avec entrain, même si la plupart des gens ont du mal à me croire, malgré mes protestations. Faites-moi confiance. Je peux vraiment être enjouée. Je peux être aimable. Affable. Agréable. Et nous n'en sommes qu'aux « A ». Mais ne me demandez pas d'être gentille. La gentillesse n'a rien à voir avec moi. »
Autre détail intéressant, il aborde une vision de l’Histoire dont on entend peu parlé : les allemands résistants. En effet, souvent lors de nos cours d’histoire, il y a les « bons » et les « méchants » pour schématiser. A travers ce livre, on se rend compte – même si on s’en doutait – que certains allemands luttaient contre Hitler. On connaît bien la Rose blanche avec Sophie et Hans Scholl, mais là on aborde des actes isolés, des pensées non politiques, juste un sens de la justice.
J’ai trouvé une critique du Monde des livres qui résume en une phrase ce que je pense du livre : « La Voleuse de livres célèbre l’amour de la lecture, les liens familiaux, la solidarité humaine. De quoi attendrir la Mort elle-même. » — Le Monde des livres, Johanna Luyssen, 5 avril 2007
Bref, si vous n’avez jamais eu l’occasion de lire cette histoire, n’hésitez plus …
Allemagne 1939, Liesel voit un livre à l'enterrement de son frère. Elle le prend. Petit à petit, Liesel comprend le pouvoir des mots et dévore son livre pour mieux fuir la Shoah. La Mort, conteuse, dépeint la vie de cette petite fille qui semble être épargnée. Un récit bouleversant, d'une infinie tristesse mais qui vaut la peine d'être lu et transmit grâce à une écriture efficace et originale.
Dans le style, j'ai été un peu déçue par la narration, qui se veut originale, mais que j'ai trouvé artificielle (même si l'idée de départ était bonne).
L'histoire est très belle, le thème toujours aussi dur et émouvant, car oui il y a toujours de l'espoir.
C'est le troisième livre que je lis sur la période de la 2ème Guerre Mondiale, du point de vue des allemands. Dans un tout autre genre, j'ai lu Les Bienveillantes, autrement plus "rude" et un livre d'Alice Miller, pas un roman, mais où elle parle de l'enfance maltraitée d'Hitler, C’est pour ton bien.
Un très bon roman, émouvant sans pathos, qui suit la vie d'une jeune fille dans les moments forts de sa vie. Lutte entre la mort et la voleuse de livres; roman d'apprentissage, et le contexte de la seconde guerre mondiale le rend très pertinent pour un travail avec des élèves.
Dans mon Top 5
Ce magnifique roman fut un véritable choc pour moi. Il est un des plus beaux qu'il m'ait été donne de lire. Absolument indispensable.