Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, un jeune homme agonisant est ramassé par des soldats américains, sur une route allemande parsemée de cadavres....
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A la fin de la Seconde Guerre mondiale, un jeune homme agonisant est ramassé par des soldats américains, sur une route allemande parsemée de cadavres. Surnommé Alex, il a tout oublié de l'enfer qu'il a traversé. Jusqu'à son propre nom. La seule identité qu'il lui reste, c'est un matricule tatoué sur l'avant-bras gauche. Auschwitz. Soigné par des médecins militaires français, il réapprend à vivre et découvre l'amour. Lentement, reviennent les images de son passé : l'arrestation, la détention au camp de Gurs et sa déportation. Au gré de son errance dans Paris, un nom frappe sa mémoire, celui d'une station de métro. La retrouver, c'est renouer les fils d'une mémoire occultée.
Né à Varsovie, Joseph Bialot a fait le récit de son retour d'Auschwitz dans C'est en hiver que les jours rallongent, dont ce livre est en quelque sorte le pendant romanesque.