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Pas besoin d'être amoureux des chiens pour lire cette comédie profonde qui déploie des trésors d'humour et d'amour. Elle ravira tous ceux qui aiment rire et pleurer. Une jolie psy qui ne tourne pas rond et qui a perdu l'amour. Une ado qui parcourt inlassablement les rues de la ville à la recherche de son chien. Un garçon amoureux en secret qui la suit. Une famille un brin bancale. Un séduisant célibataire qui fuit les sentiments.
Dans ce roman décalé et rafraîchissant, où bat le coeur de San Francisco, Meg Donohue brosse une galerie de portraits drôles et attachants où chaque personnage, toujours relié aux autres, cherche son chien à sa manière : avec nostalgie, avec passion, avec vulnérabilité et finit par se trouver lui-même et rencontrer l'amour. Un regard tendre et drôle porté sur les liens qui unissent les êtres humains entre eux, et à leurs compagnons les plus fidèles.
Un joli petit roman
Même si mon genre de prédilection est le thriller psychologique, j’aime, après en avoir lus plusieurs d’affilée, faire une petite pause avec une lecture légère, touchante ou amusante. Et c’est après avoir lu une critique que un site de lecture, début mars, que j’ai mis ce livre dans ma PAL.
C’est un petit roman, sucré comme un bonbon, doux comme du coton et plein d’affection pour nos amis à quatre pattes. Maggie, l’héroïne, psychothérapeute spécialisée dans le deuil animalier, et Anya sont touchantes. Les autres personnages Henry et Lourdes ne sont pas en reste. Quant à Giselle et Seymour, ils sont attendrissants… L’histoire est jolie, sans aucune mièvrerie, et traite de différents sujets : l’amitié, l’entraide, la solitude, l’amour (humain et canin) les phobies, le soutien affectif de nos amis les bêtes et des biens-faits qu’ils nous procurent. Certains passages sont amusants, d’autres sont plein de tendresse ou d’émotion.
Ayant eu moi-même 3 chiennes, des lévriers, deux whippet (l’une d’elles, copie conforme du chien en couverture et un lévrier saluki), je comprends les sentiments de Maggie et Anya. Ceux qui ont un animal se reconnaitront et ceux qui n’en ont pas apprécieront cette histoire tout autant...
Par contre, je n’ai pas compris le choix de la race du chien en photo sur la première de couverture. Et pourquoi avec une couronne sur sa tête ? Il y a plusieurs chiens, de race différence ou même "sans race" dans cette histoire, mais il n’y a aucun lévrier.