Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le nom propre, cet objet linguistique farouche, ne se laisse pas facilement saisir. Par là même, il est l'outil privilégié de la création romanesque....
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Résumé
Le nom propre, cet objet linguistique farouche, ne se laisse pas facilement saisir. Par là même, il est l'outil privilégié de la création romanesque. Le Tristan en prose, ce vaste roman du XIIIe siècle sans cesse recopié et remanié jusqu'à la Renaissance, parvient à générer un univers romanesque propre en empruntant une grande partie de son onomastique profuse à des romans antérieurs. Loin de se limiter à un annuaire, ce roman suscite du récit autour du nom : quêtes, requêtes et enquêtes où se redéfinissent les thèmes traditionnels de l'incognito et de la renommée. Lire les noms, percevoir leur forme et leur emploi, c'est aussi déchiffrer la carte de l'espace et du temps, les structures et les usages de la société fictive. Les noms, enfin, tout-puissants, s'imposent aux personnages et aux lieux, agissent sur le monde. Dans une période où l'onomastique moderne est en gestation, une véritable poétique du nom propre est à l'œuvre dans ce roman