Robert cherche à vendre son pressing ; Akeel veut en acheter un. Pendant un an, ils vont travailler ensemble, apprendre à se connaître, devenir amis. Akeel va aussi rencontrer les habitants hauts en couleurs de cette communauté multiculturelle du quartier de Brixton.
Stella Duffy nous montre Londres telle qu’elle est, telle qu’elle vit, sans caricature, sans exagération, sans fard, sans concession.

À lire avant tout voyage à Londres !

• Inattendu
• Londres
• Royaume-Uni

Robert, sur le point de partir à la retraite, cherche quelqu’un pour reprendre son pressing. Le seul candidat qui se présente est Akeel, d’origine pakistanaise. Ils vont travailler ensemble pendant un an, d’abord sans trop savoir par quel bout se prendre, puis vont devenir amis. Autour d’eux et du pressing gravitent toute une galerie de personnages hauts en couleurs.

La Chambre des vies oubliées est une très belle tranche de vie londonienne. En fait, le roman capture tellement bien l’atmosphère du quartier de Southwark que ça m’en a donné envie de retourner à Londres.

Les personnages sont croqués en quelques traits, sans tomber dans la caricature, et très attachants. Ils montrent parfaitement le multiculturalisme de ce quartier londonien.