Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Tandis que les planificateurs nazis réorganisaient, à coup d'exterminations et de déplacements de populations, le peuplement d'une nouvelle Europe...
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Résumé
Tandis que les planificateurs nazis réorganisaient, à coup d'exterminations et de déplacements de populations, le peuplement d'une nouvelle Europe dominée par la " Grande Allemagne ", les spécialistes du passé ont ré-écrit une histoire du continent européen dominée depuis les origines de l'humanité par les conquêtes de la " race supérieure germanique ". L'archéologie a ainsi fourni une légitimité scientifique directe à l'entreprise d'" épuration raciale" et de germanisation forcée menée à l'échelle de l'espace européen par le IIIe Reich. Cette " nouvelle archéologie " allemande fut servie par une génération de jeunes chercheurs qui, presque tous, poursuivirent brillamment leur carrière après 1945. Cette continuité a directement contribué à entretenir une véritable omerta sur le passé nazi de la discipline. Réunis à l'occasion du 10e Congrès de l'Association des Archéologues Européens, tenu à Lyon en 2004, une vingtaine de spécialistes français et étrangers présentent ici une synthèse de leurs recherches sur les travaux et les projets archéologiques mis en place par les autorités nationales-socialistes dans les pays occupés à l'ouest du Reich. Ce tour d'horizon révèle l'étendue de l'entreprise d'instrumentalisation de la discipline archéologique réalisée au profit de l'idéologie nazie. Il souligne également l'importance de cet encombrant héritage dans l'archéologie européenne actuelle. A tous, ces recherches rappellent la responsabilité des archéologues lorsque le passé devient une arme, utilisée d'abord pour exclure l'autre puis bientôt le faire disparaître.