En cours de chargement...
Je crois au karma et à la fascination des sortilèges. A la réincarnation, pour arriver enfin à toucher la perfection ! Au fatum de nos actes dérisoires, devant l'histoire ! A l'éternel recommencement de nos sentiments. Mais ! Je ne pardonne qu'une seule fois aux personnes ignorantes de m'avoir fait... Du mal ! A ceux que j'ai tant aimés et qui m'ont fait du mal, je ne pardonnerai jamais ! Tempus edax rerum ! Ovide.
("Le temps détruit toute chose")
Je cracherai sur tes derniers...baiser !
Froid comme le canon d’un revolver plaqué sur la tempe. Triste comme ces travailleurs de l’ombre. Sale comme Waterloo après la défaite.
Loin d’un bonheur idéalisé, l’univers de Georges Zérillo ressemble plus à des catacombes romaines.
Un dédale de couloirs obscurs où l’infidélité, la médecine ou la religion ont une place de choix. Un labyrinthe symbolique dans lequel le poète, libre de ses mots, vide son sac.
La rage de dire les choses éclate à chaque vers. Rejeter nos préjugés pour mieux nettoyer le monde de son infamie : telle est la vocation première de cet auteur accusateur qui n’a pas peur de crier sa vérité.