Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A quoi tendent ces récits de batailles et de massacres ? Quel intérêt ont-ils pour un lecteur chrétien ? Pourquoi ont-ils trouvé place dans l'Ecriture...
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Résumé
A quoi tendent ces récits de batailles et de massacres ? Quel intérêt ont-ils pour un lecteur chrétien ? Pourquoi ont-ils trouvé place dans l'Ecriture ? Origène a conscience des difficultés que pose à l'exégète l'explication du livre de Josué. Sans refuser la réalité du récit biblique, il en cherche, à son habitude la signification spirituelle, en puisant dans une déjà longue tradition exégétique, à la fois juive et chrétienne.
Les combats de Josué (Jésus) deviennent ainsi une métaphore des combats de l'âme contre les passions et les puissances du mal et la conquête de la Terre promise, l'image de la conquête du royaume des cieux sous la conduite de Jésus. L'homonymie des deux noms renforce et facilite le recours aux figures. La Terre promise n'est plus pour le chrétien la Palestine terrestre : elle réside dans cet état de perfection auquel parvient l'âme au terme de sa marche spirituelle ; mieux encore, elle est le Christ Jésus lui-même. Nouveau chef d'un Israël spirituel, il peut seul donner accès à la Terre promise des cieux. Toute l'histoire de Josué est en définitive relue dans cette perspective eschatologique et spirituelle.
Ces Homélies sur Josué ont subi le sort de presque toutes les homélies d'Origène : l'original grec est perdu et le texte ne nous est parvenu qu'à travers la traduction latine de Rufin d'Aquilée.