Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dans "De la phisionomie", l'ironie fragilise le récit élogieux que Montaigne fait de lui-même en se comparant à Socrate. Est proposée ainsi une réflexion...
Lire la suite
Dans "De la phisionomie", l'ironie fragilise le récit élogieux que Montaigne fait de lui-même en se comparant à Socrate. Est proposée ainsi une réflexion sur l'exemplarité possible des récits, sur les limites intrinsèques de cet autoportrait de "bonne foi" et le bon usage qu'on peut en faire.
Dans " De la phisionomie ", l'ironie fragilise le récit élogieux que Montaigne fait de lui-même en se comparant à Socrate. Est proposée ainsi une réflexion sur l'exemplarité possible des récits, sur les limites intrinsèques de cet autoportrait de " bonne foi " et le bon usage qu'on peut en faire.