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Drôle
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XXe siècle
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Londres
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Tour de Londres
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Attendrissant
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Surprenant
Balthazar Jones et le zoo de la Tour se présente comme un roman anglais dans la plus pure tradition de l’humour pince sans rire et de la loufoquerie. Les situations cocasses et hilarantes se succèdent sous la plume à la fois humoristique, piquante mais aussi sensible de Julia Stuart. Car si ce récit fait beaucoup rire, il émeut également. Balthazar et sa femme Hebe ont vécu un drame quelques années après avoir emménagé dans la tour : la perte de leur fils unique. Et cet événement les a irrémédiablement éloigné. Cela sert un peu de fil rouge au roman. Julia Stuart réussit donc
à traiter un sujet dramatique d’une manière délicate et tendre au milieu d’une narration burlesque et complètement folle. Il faut dire que les habitants de la tour sont attachants sous leurs côtés doux dingues, qui cachent parfois des blessures profondes. Car autour du couple Jones, d’autres protagonistes savoureux gravitent : le révérend vieux garçon qui écrit de la littérature érotique, le hallebardier en chef terrorisé par les fantômes ou encore Ruby Dore, jeune femme qui tient le pub de la Tour, avec son caractère bien trempé.
En plus de nous divertir, ce roman réussit aussi à nous cultiver car il nous apprend de nombreuses anecdotes, des plus sérieuses aux plus sanglantes ou aux plus délectables sur l’Histoire de la Tour de Londres. Et cela sans lourdeur. Le métier de Hebe Jones donne lieu aussi à des moments hilarants ou bouleversants. Elle travaille au bureau des objets perdus du métro de Londres et l’imagination de Julia Stuart s’est véritablement envolée dans les passages qui y sont consacrés. Un régal.
Loufoque
Balthazar Jones et le zoo de la Tour se présente comme un roman anglais dans la plus pure tradition de l’humour pince sans rire et de la loufoquerie. Les situations cocasses et hilarantes se succèdent sous la plume à la fois humoristique, piquante mais aussi sensible de Julia Stuart. Car si ce récit fait beaucoup rire, il émeut également. Balthazar et sa femme Hebe ont vécu un drame quelques années après avoir emménagé dans la tour : la perte de leur fils unique. Et cet événement les a irrémédiablement éloigné. Cela sert un peu de fil rouge au roman. Julia Stuart réussit donc à traiter un sujet dramatique d’une manière délicate et tendre au milieu d’une narration burlesque et complètement folle. Il faut dire que les habitants de la tour sont attachants sous leurs côtés doux dingues, qui cachent parfois des blessures profondes. Car autour du couple Jones, d’autres protagonistes savoureux gravitent : le révérend vieux garçon qui écrit de la littérature érotique, le hallebardier en chef terrorisé par les fantômes ou encore Ruby Dore, jeune femme qui tient le pub de la Tour, avec son caractère bien trempé.
En plus de nous divertir, ce roman réussit aussi à nous cultiver car il nous apprend de nombreuses anecdotes, des plus sérieuses aux plus sanglantes ou aux plus délectables sur l’Histoire de la Tour de Londres. Et cela sans lourdeur. Le métier de Hebe Jones donne lieu aussi à des moments hilarants ou bouleversants. Elle travaille au bureau des objets perdus du métro de Londres et l’imagination de Julia Stuart s’est véritablement envolée dans les passages qui y sont consacrés. Un régal.