Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Monaco tient sa place au plus secret d'Apollinaire. Il ne nomme pas la Principauté plus de trois ou quatre fois dans toute son œuvre. Pourtant il y...
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Résumé
Monaco tient sa place au plus secret d'Apollinaire. Il ne nomme pas la Principauté plus de trois ou quatre fois dans toute son œuvre. Pourtant il y est resté de sept à dix-huit ans et demi, et on ne passe pas impunément ses années les plus sensibles dans le même endroit sans qu'une empreinte se forme ineffaçablement. La forte personnalité de sa mère, et ses activités sans équivoque, ont probablement contribué à lui faire garder le secret sur cette période décisive. De ces années monégasques il est sans doute resté marqué toute sa vie, et une au moins des amitiés nouées durant cette période de jeunesse a survécu jusqu'à la mort. Il semble n'y être jamais retourné, même en 1914 quand il était à Nice pour quelques mois. De toutes façons, il n'en parle vraiment jamais, se bornant, quand il revient dans ses lettres sur quelque épisode de cette époque, à des formules vagues et peu compromettantes, comme " J'étais alors dans le sud de la France " ou bien " C'était un petit collège dans le Midi ". Quand enfin il sera à Paris, il se dira " arrivé de Provence ". Cette extrême discrétion - qui a ses raisons - ne facilite pas les recherches. Jean-Jacques Pauvert a rassemblé ici à peu près tout ce qu'on peut actuellement savoir sur Apollinaire à Monaco, et qui n'avait jamais fait l'objet d'une enquête complète.