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À découvrir
Une secte de Précurseurs, un groupe nommé Little People, des référence profondes et dénonciatrices.
Imprégnez-vous dans l'univers et la culture japonaise, dans les années 1Q84, ce roman est une véritable bouffé d'air frais.
Tengo, éditeur, et Aomamé, tueuse à gage, ont un lien flou qui les unis. Une sorte de destin les lie et les pousse à enquêter sur une mystérieuse secte.
Découvrez, vous aussi, cette lecture qui mêle romantisme, thriller et fantastique.
Les amateurs retrouveront avec plaisir un univers onirique et riche en références culturelles, signature de l’auteur japonais. Les autres seront happés par le destin de Tengo et Aomamé, deux âmes solitaires qui évoluent à travers l’énigmatique année 1Q84, hantée par la secte des précurseurs et les mystérieux Little People. Une lecture vraiment magique !
1Q84 est un roman en deux tomes (bientôt trois), qui nous transporte dans le Tokyo de 1984. Nous sommes donc au lendemain des années 70, durant lesquelles les hommes se sont battus avec passion pour de grands idéaux. Or voilà la décennie 80 marque elle l'arrivée du pragmatisme et les lendemains qui déchantent pour beaucoup : Perte de repère, frustration, cette décennie est celle de la quête du sens et nos personnages Tengo, jeune auteur qui récrit l'étrange livre d'une jeune adolescente, et Aemomé, professeur de self combat de 29 ans et tueuse, sont tous deux portés par l'envie
de comprendre le monde qui les entourent.
Murakami nous livre avec brio, une histoire qui navigue entre monde réel et monde fantastique, et nous contraint à le suivre dans une danse que nous ne maîtrisons point.
La structure des deux romans – chacun en 24 chapitres - s'inspire du Clavier bien tempéré de Bach, deux histoires se déploient habilement, en alternance : un professeur de mathématique-écrivain et une femme donnant des cours d'arts martiaux.
Grâce à de subtiles variations, nous découvrons les blessures du passé, les liens qui les relient entre eux, notamment leur quête d'un amour parfait. Deux fissures provoquent des convergences : la modification d'un manuscrit mystérieux pour lui, des distorsions dans le réel pour elle. Le point de convergence nous entraîne vers une mystérieuse
secte dirigée par un homme monstrueux.
Ce roman fleuve – un troisième tome est à paraître en janvier – est parfait pour découvrir l'univers de Murakami, il est plus facile d'accès que ses ouvrages précédents ; ceux qui connaissent déjà l'auteur vont pouvoir à nouveau se régaler.
Bien mais décevant. J'ai eu beaucoup de mal à accrocher et aucune envie de lire la suite... Le sujet est intéressant mais sans vraiment de surprises.
Ça peut paraître étrange mais je n'ai rien compris à ce livre.
On a vraiment du mal à rentrer dans l'histoire tellement il ne se passe... rien. C'est extrêmement plat. Je me suis forcée à aller jusqu'au bout au cas ou... mais ce fut une réelle perte de temps.
Pourtant on en parlait en tant que chef d'oeuvre. En tout cas c'est sur, ce n'est pas un livre pour moi.
Au bout de 100 pages, j'ai décroché. Impossible de m'y remettre.
Impossible d'y voir une trame, ou de rester motivé pour le rouvrir.
Faire planer le doute; faire apparaître au fur et à mesure les conséquences désastreuses sur les êtres humains du pouvoir, des systèmes établis, des représentations idéalistes des milieux littéraire et éducatif; laisser malgré tout l'espoir d'un changement possible grâce à la passion, l'amitié et l'amour: telle est ma lecture du LIvre 1 de Murakami.
J'ai adoré les idées, l'histoire et le langage de l'auteur. J'ai eu cependant un peu du mal avec certaines longueurs, répétitions et des questions posées sans réponse.
Difficile de s'inscrire en faux quand tous chantent le chef-d'oeuvre.
En passant de l'autre côté du miroir Murakami abandonne,à mon sens, "le monde flottant" des Japonnais,cette douce perversion du réel où les choses sont à la limite du sensible, du saisissable..Reste le suspense, et c'est déjà pas mal! Mais où est le charme insidieux
de ses autres romans?
Voilà ma critique du Livre 1 de 1Q84 de Huraki Murakami :
http://tribulationsdunevie.blogspot.fr/2012/11/1q84-livre-1-avril-juin.html
Ça c’était vraiment spécial, un roman japonais qui a percé en Europe, il fallait qu’on essaye, certaines ont aimé, d’autres pas. Moi, j’ai bien aimé le premier tome en fait. J’ai donc lu les tomes 2 et 3 pour savoir comment tout cela allait se terminer et … j’ai été franchement déçue par la fin, je l’avoue. Je me suis dit : « tout ça pour ça ? ». Voilà, bof, quoi !
Le récit de Haruki Murakami m'a séduite après quelques pages. Dans un premier temps je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. C'est le personnage de Tengo, au chapitre 2, qui m'a permis d'entre dans le récit.
Les petits cailloux blancs semés par l'auteur permettent au lecteur de rester accroché jusqu'au bout, avide de savoir si les deux personnages vont se rencontrer. Lorsque l'on découvre qu'ils se connaissent , l'attente est d'autant plus forte. Cependant ce premier tome pose les jalons de l'intrigue et il me semble indispensable de lire le second pour ne pas rester sur sa faim.
Le
titre intriguant renvoie inévitablement à George Orwell et son roman d'anticipation 1984, d'ailleurs cité dans le récit de Murakami. La comparaison sert de support à l'instauration de ce monde parrallèle, pourtant similaire au nôtre, dans lequel évolue Aomamé ... et Tengo ?
La structure à deux voix m'a beaucoup plu . D'abord par la variété qu'elle propose, les deux personnages étant très différents, ensuite parce que cela permet au roman de retrouver un second souffle. En effet, ce premier volume fournit au lecteur énormément d'informations qui peuvent paraitre déroutantes : ainsi l'historique de cette secte ou l'affrontement entre des membres activistes de la secte et les forces de l'ordre qui semble être un des fils conducteurs.
Le récit semblera un peu lent, mais ici l'on retrouve me semble-t-il l'influence japonaise de l'auteur. Cela ne m'a pas génée, habituée que je suis à lire des récits asiatiques. Par ailleurs le monde dans lequel évoluent nos deux personnages ne semble par leur convenir : on retrouve ici la mélancolie , le désanchantement , thèmes chers à l'auteur.
J'ai hâte de me plonger dans le deuxième tome , non pas pour avoir le fin mot de l'histoire puisqu'il existe un troisième volume mais, du moins, pour avancer dans l'intrigue et vérifier si mes hypothèses sont justes !
Je l'avais depuis longtemps, mais j'hésitais vraiment. Et quand je me suis décidée, je n'ai pas été déçue je l'ai vraiment dévoré. C'est un roman passionnant, mystérieux et paisible, avec des personnages irréels et très normaux en même temps, noués par des liens forts et fantastiques.
Oui, vous avez bien lu : 17h d'écoute pour ce roman foisonnant (enfin, la première partie du triptyque, seulement). Je salue donc la performance des deux acteurs qui tiennent les rôles principaux : Maïa Baran pour Aomamé et Emmanuel Dekoninck pour Tengo.
Venons-en au roman lui-même. Je connaissais Murakami à travers quelques romans lu de lui, dont "Kafka sur le rivage" qui m'avait charmé dès le départ. Ce roman-ci n'a pas fait effet tout de suite. Je l'ai trouvé un peu long à démarrer, plein de digressions qui me perdaient un tantinet.
Puis, j'ai compris le rythme de la narration
et de l'histoire, au fil des heures, les personnages sont devenus plus clairs, et le charme a opéré.
Le monde imaginaire de 1Q84 et de ses deux lunes ; mais aussi le monde réel et ses hommes qui n'aimaient pas les femmes.
Mais tout de même, l'auteur tourne un peu autour du pot. Chercherait-il le Nobel qui lui a échappé depuis quelques années ?
Et puis ses histoires de Little People m'ont d'abord fait penser aux petits personnages avec lesquels jouaient mes enfants. Un peu trivial comme comparaison. Non, l'auteur est plus intellectuel et oppose Little people et Big Brother, bien sûr. Big Brother - 1984 - tout un programme.
Il est également beaucoup question de whisky dans cette première partie. Trois marques sont sitées et comparées. N'étant pas une amatrice, j'ai trouvé tout de même que les personnages picolaient.
Et puis ouf, pas de jazz cette fois-ci, mais de la musique classique. Il va d'ailleurs falloir que je cherche ce fameux morceau dont il est question tout le long du livre.
Où veut-il emmener son lecteur ? J'ai hâte de le savoir !
L'image que je retiendrai :
Celle des deux lunes, justement, à la fois poétique et pleine d'interrogations.
A propos de mon écoute :
17h, ça fait long à écouter, et pas question de hâcher ma lecture en voiture (d'autant que parfois, je ne suis pas concentré sur ce qui se dit à la radio quand je conduis....)
Me voici donc installée dans une pièce à peu près calme, loin des enfants, car je profite des vacances pour ne pas trop entrecouper le récit. Murakami réclame une attention de tous les instants et à (presque) tous les détails.
J'ai à ce propos regretté de ne pouvoir retourner sur les passages qui m'avaient échappées. Je suis une visuelle (merci la télé...) et j'arrive à me souvenir de passages écrits sur lesquels j'ai besoin de revenir. A l'oral, c'est plus difficile.
Une expérience intéressante, mais sans doute plus valable pour les textes courts.
La structure des deux romans – chacun en vingt-quatre chapitres - s'inspire du Clavier bien tempéré de Bach, deux histoires se déploient habilement, en alternance : un professeur de mathématiques - écrivain et une femme donnant des cours d'arts martiaux.
Grâce à de subtiles variations, nous découvrons les blessures du passé, les liens qui les relient entre eux, notamment leur quête d'un amour parfait. Deux fissures provoquent des convergences : la modification d'un manuscrit mystérieux pour lui, des distorsions dans le réel pour elle. Le point de convergence nous entraîne vers une
mystérieuse secte dirigée par un homme monstrueux.
Ce roman fleuve – un troisième tome est à paraître en janvier – est parfait pour découvrir l'univers de Murakami, il est plus facile d'accès que ses ouvrages précédents ; ceux qui connaissent déjà l'auteur vont pouvoir à nouveau se régaler.
J'ai pris plaisir à entrer dans l'univers particulier de Murakami et pour moi, c'était une première. Mais j'ai aimé ce roman de manière irrégulière. Si au début, j'ai préféré la partie narré par Tengo (sans doute est-ce un peu lié à Emmanuel Deconinck qui lit cette partie), j'ai ensuite beaucoup aimé revenir à Aomamé une fois qu'on a compris ce qu'elle fait vraiment. C'est d'ailleurs tout ce thème des filles et de femmes sacrifiées qui m'a le plus plu dans ce roman. Le parallèle entre le monde des sectes et 1984, le roman d'Orwell est fait avec subtilité. Les personnages
de ce roman sont fort bien campés mais je ne suis pas fan de science fiction, donc ce qui concerne les Little People m'a laissée totalement indifférente.
C'est un roman très dense qui mêle de nombreuses réflexions sur la littérature, les sectes, le poids de nos souvenirs et les deux lecteurs, Maia Baran et Emmanuel Dekoninck, sont parfaits.
Septembre ou octobre 2011. Librairie Decître à Chambéry. Rencontre littéraire. Un des libraires fait éloges de ce livre et du suivant. Il attend même avec impatience le livre 3. Bon mouais. Pas très convaincue. Hésitante. Et puis comme à mon habitude les livres (ou films cinématographiques) qui soulèvent autant d'enthousiasme je me méfie parce que tellement de déception.
Et voilà à la médiathèque, il traine là comme ça. Alors ... j'ai pris.
À peine ouvert, je ne l'ai plus quitté. Je me suis prise au jeu des personnages même si des extravagances flirtent à bien des pages.
Dans la douceur de l'été elles délassent.
Cette trilogie superbe et hallucinée de Haruki Murakami a fait partie de ce que j’appelle personnellement mes lectures parallèles, c’est à dire ces romans en plusieurs tomes pour lesquels j’attend le dernier pour pouvoir commenter l’ensemble. Bloquant un peu sur la rentrée littéraire, j’en ai profité pour terminer le troisième tome de cette trilogie.
La première question que m’a posé cette oeuvre est : quelle est la valeur de notre réalité? Basculant à tour de rôle dans le monde de 1Q84, Aomamé d’abord, puis Tengo dans un deuxième temps, les deux personnages sont
incessamment remis en cause dans ce qui est leur réalité. Un monde à deux lunes, une chrysalide de l’air contenant une mystérieuse petite fille, et surtout, les little people, énigmatiques : Aomamé et Tengo sont continuellement amenés à remettre en cause leur réalité pour pouvoir continuer à survivre.
La deuxième question : Ecrire le monde, est-ce le réinventer? Car en définitive, ce monde de 1Q84, c’est aussi ce monde que Tengo réécrit en reprenant le roman de Fukaéri, en dans lequel Aomamé bascule petit à petit puis lui-même à son tour. Le langage peut ainsi avoir un vrai pouvoir,... La suite sur http://livredelire.com/2012/09/09/1q84-de-haruki-murakami/
Un nouveau livre de Murakami c'est toujours plus d’émerveillement encore qu'avec le précédent!
Un monde qui n'est pas celui d'ici, deux lunes qui brillent dans le ciel, un roman qui parle d'une chèvre aveugle et de "little people", des jeunes filles violentées, et beaucoup d'autres choses encore à découvrir.
A travers l'histoire d'Aomamé et de Tengo, deux personnages qui ne se croisent jamais mais dont les destins sont indéniablement liés, plongez dans un roman qui vous tiendra en haleine de la 1ère à la dernière page.
Un conseil : avoir le 2e et le 3e livre sous la main car
le suspense est insoutenable!
Version adulte d'un conte japonais à la Myazaki. Sexe, sang et femmes torturées en plus, c'est à la mode. Impossible d'imaginer les personnages autrement que comme dans ces dessins animés : mêmes expressions des visages, même décors, même types de personnages. Rien de plus classique que cette histoire de double monde, de glissement de l'un à l'autre : c'est la base même du fantastique. Lisez donc plutôt le cahier Kangourou de Abé Kôbô si vous voulez vous sentir baladé dans un autre monde....
Adepte du cartésien passez votre chemin...Il reste un goût d'inachevé, de trop ou pas assez. J'ai eu du mal à m'arrêter entre les chapitres. On ne s’emmêle pas les pinceaux, c'est très bien écrit!
au début, j'ai trouvé interessant, ensuite, quand ça passe à l'étrange, j'ai complètement déconnecté.j'ai abandonné avant la fin du tome 1..;
J'aime toujours autant cette façon d'écrire, ce mélange de réalité et de rêves...
L'alternance des chapitres fait penser à une partition musicale reposante et rassurante mais comme d'habitude l'histoire met mal à l'aise...
C'est ce double effet que j'aime chez Murakami.
le livre 2 est tout aussi bien (presque mieux même), vivement le 3...
Les 15 premieres pages sont excellentes .
Après , on prend son mal en patience à essayer de venir à bout de ce roman ( de ces 2 romans et même qu un troisième est à venir ) très mal écrit ( ou mal traduit ? ), vaguement New Age, terriblement répétitif . Le récit n avance absolument pas et donc nous ennuie rapidement. Les révélations sensationnelles ( mondes parallèles, liens de parenté entre les personnages ... ) ont été devinées par le lecteur 150 pages en avance !
Il faudra que les critiques soient très enthousiastes pour que je lise le tome 3 !
Chef d'oeuvre
Tengo et Aomamé évoluent en parallèle l'un de l'autre. Ils ne se connaissent pas mais vont être amenés à se rencontrer dans les trois tomes incroyables de cette trilogie que je trouve absolument brillants. Parfait mélange entre réalisme, fantastique et onirisme.