-
Emouvant
-
amitié
-
Révoltant
La couverture est simple mais jolie et nous savons que nous allons voyager hors de notre pays.
Dès les premières phrases, nous sommes plongés dans l’histoire (qui, je précise est bien réelle !). Dans ce roman, l’auteur nous dévoile tous les échanges qu’elle a entretenus avec Miossoty et nous distinguons parfaitement la partie narration de son histoire.
L’amour que porte l’auteur pour Cuba est très grand. Nous admirons sa gentillesse pour les personnes qu’elle côtoie et sa disponibilité. C’est une femme au grand cœur qui s’inquiète pour Miossoty.
Au travers de cette
histoire, nous comprenons comment vivent les Cubains. Nous nous rendons compte que ce n’est pas tous les jours facile et que, là-bas, les administrations ne fonctionnent pas du tout comme chez nous. Au travers des péripéties que Miossoty et sa famille ont dû endurer, nous ressentons tout l’amour qu’ils ont entre eux et surtout l’amitié qui prend de plus en plus de place entre elle et Isabelle.
Il y a quelques passages où des échanges se font en Espagnols. Pour ceux qui ont appris cette langue, ne serait-ce qu’un peu, c’est assez simple à comprendre, mais il est vrai que pour ceux qui ne l’ont pas appris, c’est assez compliqué à traduire, et ça pourrait déstabiliser quelques personnes. Mais, ces moments ne sont pas les piliers principaux de cette histoire et on peut la continuer facilement sans les lire.
On voit évoluer l’amitié entre Isabelle et Miossoty au fur et à mesure que nous tournons les pages de cette belle histoire et nous sommes heureux de constater qu’à ce jour, tout est encore intact et encore plus fort qu’auparavant.
Nous sommes touchés de voir à quel point Isabelle se livre dans cette histoire, elle aurait pu enlever ces passages difficiles, mais non, elle a décidé de nous laisser tout dans les moindres détails et c’est-ce qui fait de cette histoire un très bon roman. Les fautes de Miossoty sont drôles et normales pour une Cubaine qui apprend notre langue qui n’est pas simple à écrire.
Les moments de joie sont nombreux. Isabelle vit les mêmes choses que Miossoty au travers de leurs échanges par courriels et nous sentons une frustration grandir au fur et à mesure, de ne pas pouvoir aider encore plus Miossoty et sa famille.
La fin est très réjouissante, remplie de tendresse et d’amitié au-delà des frontières.
le don de soi existe encore !
La couverture est simple mais jolie et nous savons que nous allons voyager hors de notre pays.
Dès les premières phrases, nous sommes plongés dans l’histoire (qui, je précise est bien réelle !). Dans ce roman, l’auteur nous dévoile tous les échanges qu’elle a entretenus avec Miossoty et nous distinguons parfaitement la partie narration de son histoire.
L’amour que porte l’auteur pour Cuba est très grand. Nous admirons sa gentillesse pour les personnes qu’elle côtoie et sa disponibilité. C’est une femme au grand cœur qui s’inquiète pour Miossoty.
Au travers de cette histoire, nous comprenons comment vivent les Cubains. Nous nous rendons compte que ce n’est pas tous les jours facile et que, là-bas, les administrations ne fonctionnent pas du tout comme chez nous. Au travers des péripéties que Miossoty et sa famille ont dû endurer, nous ressentons tout l’amour qu’ils ont entre eux et surtout l’amitié qui prend de plus en plus de place entre elle et Isabelle.
Il y a quelques passages où des échanges se font en Espagnols. Pour ceux qui ont appris cette langue, ne serait-ce qu’un peu, c’est assez simple à comprendre, mais il est vrai que pour ceux qui ne l’ont pas appris, c’est assez compliqué à traduire, et ça pourrait déstabiliser quelques personnes. Mais, ces moments ne sont pas les piliers principaux de cette histoire et on peut la continuer facilement sans les lire.
On voit évoluer l’amitié entre Isabelle et Miossoty au fur et à mesure que nous tournons les pages de cette belle histoire et nous sommes heureux de constater qu’à ce jour, tout est encore intact et encore plus fort qu’auparavant.
Nous sommes touchés de voir à quel point Isabelle se livre dans cette histoire, elle aurait pu enlever ces passages difficiles, mais non, elle a décidé de nous laisser tout dans les moindres détails et c’est-ce qui fait de cette histoire un très bon roman. Les fautes de Miossoty sont drôles et normales pour une Cubaine qui apprend notre langue qui n’est pas simple à écrire.
Les moments de joie sont nombreux. Isabelle vit les mêmes choses que Miossoty au travers de leurs échanges par courriels et nous sentons une frustration grandir au fur et à mesure, de ne pas pouvoir aider encore plus Miossoty et sa famille.
La fin est très réjouissante, remplie de tendresse et d’amitié au-delà des frontières.