La triste fin des personnes âgées en institution (suite) - Cauchemar - Grand Format

"Tout ce que je pouvais dire, c'est que j'étais mise en quarantaine, que même pas une dizaine de personnes m'adressaient la parole, depuis le jour où j'avais dénoncé cette collègue maltraitante, ces gens m'insultaient et me menaçaient." Après le temps des révélations vient celui de leurs répercussions... Ainsi, après avoir dénoncé l'inadmissible, L. Camiul fut emportée dans la tempête... mais pas de la manière dont on pourrait le croire.
En effet, ce fut de certains collègues et syndicats que vinrent les attaques sournoises, les cabales, les paroles et écrits venimeux. Autant de coups infligés auxquels l'auteur répondit par l'opiniâtreté, la force de caractère, ainsi que le décrit ce nouveau témoignage qui dresse, en creux, le portrait d'une femme portée par la dignité.