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A l'issue d'une vie maçonnique de plus d'un demi-siècle, dont une très longue partie passée à militer pour que cet ordre retrouve et revienne sur sa voie d'origine, force m'a été d'admettre que c'était là, chose illusoire, tant le ver ténébreux y avait étendu ses ravages et renforcé les racines de sa déviance. Ayant écrit pour sa restauration, dont l'impossibilité m'est devenue manifeste, entreprendre le présent écrit m'est apparu comme une obligation, afin d'achever mon témoignage, tant au regard des Francs-maçons qui y demeurent, que de leurs adversaires qui la condamnent au vu et au su de ce qui n'est que sa perversion.
Paul Jean Girard. ==+== Initialement athée, puis bouddhiste, avant de revenir à la Foi de mon Baptême, l'Eglise m'a paru être la Servante docile du Christ, avec ses sautes d'humeur, comme toute personne humainement constituée. Faisant abstraction de mes préjugés contre certaines déviances doctrinales, observées de l'extérieur comme tout laïc réfléchi, j'ai ressenti un appel intérieur à vouloir servir l'institution religieuse pour servir mon prochain.
Patatras, à peine arrivé au séminaire, je sens que la voie sacerdotale s'effondre sous mes pas et mon âme se délite. Après des années de recherches, j'ai décidé de révéler les racines d'un mal profond qui affecte le coeur de l'Eglise tout entière depuis des siècles, Eglise qui, hélas, n'est plus de Dieu. J. F. L. D'Herbeys.
