L'univers est surprenant et riche. Les codes inversés ont eu raison de mon ardeur. Je salue en premier la société matriarcale des Raïsers. De plus, la domination d'une espèce alien sur les êtres humains est originale et bien mise en scène. J'ai ressenti de la révolte tout autant qu'un juste retour des choses.
Les personnages sont parfaitement travaillés, particulièrement Xanto, bien qu'on n'en ait pas l'impression, parce que son comportement est tellement froid extérieurement. Ceci rend le jeu de séduction de Jashugan pour son maître encore plus captivant. Pourtant à l'intérieur,
Xanto est un passionné. En revanche, Jashugan a beau être exubérant, sa personnalité est plus complexe. Si l'on pourrait presque qualifier le pilote de neutre, l'Ishtari a deux côtés distincts. Il ne s'en cache pas, il est violent, mais une de ses facettes m'a choquée par sa brutalité et sa soudaineté. J'ai vraiment du mal à saisir ce personnage.
C'est dynamique et, en même temps, persiste une impression de lenteur due à la durée de vie des Raïsers. L'éternité leur temps les bras, ils ne précipitent donc rien, prennent le temps de poser leur pions. Une paisibilité trompeuse plane également, en contraste avec les événements, mais que le caractère de Jashugan ne manque jamais de briser. Une ambiance particulière donc, mais agréable.
Un roman qui m'a emportée !
L'univers est surprenant et riche. Les codes inversés ont eu raison de mon ardeur. Je salue en premier la société matriarcale des Raïsers. De plus, la domination d'une espèce alien sur les êtres humains est originale et bien mise en scène. J'ai ressenti de la révolte tout autant qu'un juste retour des choses.
Les personnages sont parfaitement travaillés, particulièrement Xanto, bien qu'on n'en ait pas l'impression, parce que son comportement est tellement froid extérieurement. Ceci rend le jeu de séduction de Jashugan pour son maître encore plus captivant. Pourtant à l'intérieur, Xanto est un passionné. En revanche, Jashugan a beau être exubérant, sa personnalité est plus complexe. Si l'on pourrait presque qualifier le pilote de neutre, l'Ishtari a deux côtés distincts. Il ne s'en cache pas, il est violent, mais une de ses facettes m'a choquée par sa brutalité et sa soudaineté. J'ai vraiment du mal à saisir ce personnage.
C'est dynamique et, en même temps, persiste une impression de lenteur due à la durée de vie des Raïsers. L'éternité leur temps les bras, ils ne précipitent donc rien, prennent le temps de poser leur pions. Une paisibilité trompeuse plane également, en contraste avec les événements, mais que le caractère de Jashugan ne manque jamais de briser. Une ambiance particulière donc, mais agréable.