Jean Dion a toujours été d'une absolue discrétion. Brillant nouvelliste de science-fiction, il n'a jamais voulu que ses textes soient réunis en recueil, et restait en marge des congrès et du milieu. Pourtant, plusieurs de ses nouvelles ont remporté des prix : « Une chambre à l'ouest » s'est méritée le prix Boréal en 1987, et « Base de négociation » le prix Aurora en 1993. Outre la douzaine de nouvelles qu'il a publiée seul (ainsi qu'une publiée sous le pseudonyme de Bertrand Dion), il a également ouvré à quatre mains avec son ami Guy Sirois, sous le pseudonyme de Michel Martin.
Mère de famille, secrétaire dans une caserne de pompiers et amatrice de pêche, Isabelle Lauzon écrit dans différents genres et pour divers publics.
Elle a publié des nouvelles littéraires chez Brins d'éternité, Virages, Horrifique et Moebius et son roman jeunesse Malina mi-sorcière mi-fée (Éditions Z'ailées) paraîtra sous peu. On peut la suivresur le Web au : http://laplumevolage.blogspot.com.
Juan Mannose a fait des études en littérature comparée à l'Université de Montréal. Il a déjà publié des nouvelles dans des usines de science-fiction de l'Amérique latine et de l'Espagne.
Lauréat d'un prix international de poésie en 2013, il prépare un recueil de poèmes, Distangustia. En français, il a été nommé lauréat des Grands Prix Littéraires de Laval, catégorie grand public en 2012, avec le conte « Tout est là-bas ». Également, il a été inclus dans une anthologie francophone de tankas. Actuellement, il enseigne à l'Universidad de la Amazonia, en Colombie.
Ayant complété son DEC en Arts et lettres, profil théâtre, à Limoilou, ce n'est que pendant sa première et unique année en études littéraires à l'Université Laval que Katerine Thériault se met un peu plus sérieusement à l'écriture.
L'année suivante, elle se retrouve à l'École de théâtre de Saint-Hyacinthe en interprétation. Lorsqu'elle y entame sa deuxième année, en 2013, c'est dans l'idée de continuer d'explorer les innombrables facettes de l'art qu'elle apprend, le théâtre, et surtout de s'amuser au niveau de la création que ce soit seule, devant le clavier de son humble ordinateur, ou en collectif.
Sous le pseudonyme de Michel Martin, Jean Dion et Guy Sirois ont signé ensemble plusieurs nouvelles.
Michel Martin a remporté en 1989 le Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois pour « Geisha Blues » et le prix Boréal en 1990 pour « La Tortue sur le trottoir ».
Né à Montréal en 1954, il a fait ses débuts en 1984 dans la revue Solaris avec sa nouvelle « Hypercruise », gagnante du Prix Solaris. Par la suite, il a écrit des critiques dans cette revue ainsi que des nouvelles dans Carfax, CSF, Samizdat, imagine et l'Année de la Science-fiction et du Fantastique.
L'Arbre Noir et Celui qui voit, deux romans jeunesse de l'auteur, ont été publiés aux éditions Paulines.
