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Helen et Bridget. La mère (Helen) est une énigme aux yeux de la fille (Bridget). Divorcée deux fois, elle a enduré une existenceémaillée de déceptions et d'empêchements. Acerbe, cassante, elle se complaît dans la cruauté. Du moins, c'est ainsi que la voitBridget. Mais que sait-on vraiment de Bridget ? N'est-elle pas plus semblable à sa mère qu'elle ne le pense ? Ne se livre-t-elle pasau même jeu de dupes, singeant la dureté pour masquer sa sensibilité ?Mes fantômes est le roman d'un amour singulier et bouleversant, celui qui lie deux femmes férocement attachées l'une à l'autre.
Traduit de l'anglais par Olivier Deparis.
Filialité
Dans ce roman à la première personne, la fille essaie de cerner sa mère, marchant sur la pointe des pieds pour se protéger, pour la ménager et se ménager elle-aussi par voie de conséquence. Les dialogues au scalpel qu'orchestre l'autrice mettent parfois mal à l'aise dans ce roman aussi difficile à capturer que ne le sont les héroïnes (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2024/04/17/mes-fantomes-gwendoline-riley/)