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On le sait de source sûre, dans notre chair vive et l'amour du social qui symbolise notre siècle en fête : licenciés et licencieurs peuplent la Terre, les entreprises, les écoles, les familles - comme autant de révélations profondes de la personnalité de chacun en général - et des directeurs, de toutes espèces, en particulier. Dans sa « Lettre émue... » l'auteur, qui s'inscrit dans la ligne de nos humoristes, aborde précisément le problème par le haut, par les « valeurs supérieures de l'esprit », qui sont celles de l'humour et de la satire, comme chacun sait ! À l'aide d'exemples concrets et de l'actualité brûlante, éternelle des entreprises, l'auteur décrit des tranches de vie et de comportements qu'il ne serait pas possible de traiter autrement : l'homme (des deux sexes) n'a jamais cessé d'être tragi-comique et follement contradictoire, pour la plus grande joie des exégètes spécialisés.
L'humour est sans doute l'un des seuls modes d'expression, qui puisse le mieux exprimer la férocité des « rapports sociaux » et des rapports en général ! À travers l'humour, on entre directement dans le vif du sujet, qui est celui de la déraison inguérissable de l'homme, déraison sans laquelle, pourtant, l'homme n'est rien, sinon une créature peu plausible, qu'on dit « sans histoire »...
