Les langues de l'émancipation : quelles traductions pour la démocratie ? - E-book - PDF

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Dal bó gisèle Amaya et Martín Macías Sorondo - Les langues de l'émancipation : quelles traductions pour la démocratie ?.
En tant que champ polémique à re-signifier, la démocratie se prêterait à un travail de retraductions selon la région discursive et la langue dans... Lire la suite
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Résumé

En tant que champ polémique à re-signifier, la démocratie se prêterait à un travail de retraductions selon la région discursive et la langue dans lesquelles on la voit réapparaître. À côté de la question de la philosophie politique classique « qu'est-ce que la démocratie ? », une autre émerge, « démocratie, dans quelles langues ? ». Traduire la démocratie pourrait alors exprimer les formes historiquement prises par la démocratie, mais surtout celles qu'elle est susceptible de prendre dès lors que l'on donne à voir les récits marginalisés et mis à l'écart dans la lutte pour la parole.
Les articles qui constituent cet ouvrage sont issus d'une journée de recherche pluridisciplinaire tenue en 2022 et cherchent à analyser comment aborder la question de la démocratie sous différents angles dans le contexte d'un monde globalisé, et à rendre compte des défis que cela représente, dans le jeu des traductions, pour une réflexion sur le commun.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      190
    • Taille
      2 248 Ko
    • Protection num.
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À propos des auteurs

Gisele Amaya Dal Bó, chercheuse à l'IDPS (Université Sorbonne Paris Nord) et auteure de La subversion passée sous silence. Politiques de mémoire sur la dictature en Argentine et au Chili (L'Harmattan). Elle est professeure diplômée en lettres en Argentine et a fait un master en philosophie à l'Université Paris 8. Martin Macías Sorondo, professeur de langues et doctorant en philosophie au LLCP (Université Paris 8). Sabrina Morán, docteure en sciences sociales (UBA-IDPS Sorbonne Paris Nord) et a fait un master en sciences politiques à l'Université nationale de San Martín (Argentina).
Elle est professeure de sciences politiques et participe à plusieurs équipes de recherche à l'Institut de recherches Gino Germani de l'Université de Buenos Aires. Natalia Prunes, docteure en philosophie (Université Paris 8) et professeure d'histoire de la langue espagnole (Université de Buenos Aires). Agostina Weler, chercheuse au LLCP (Université Paris 8) et à l'Université de Buenos Aires, membre du projet de recherche « Walter Benjamin : de l'anthropologie au matérialisme anthropologique » (Instituto Gino Germani, UBA, Argentine), et traductrice en sciences sociales et philosophie. Gisele Amaya Dal Bó, chercheuse à l'IDPS (Université Sorbonne Paris Nord) et auteure de La subversion passée sous silence.
Politiques de mémoire sur la dictature en Argentine et au Chili (L'Harmattan). Elle est professeure diplômée en lettres en Argentine et a fait un master en philosophie à l'Université Paris 8. Martin Macías Sorondo, professeur de langues et doctorant en philosophie au LLCP (Université Paris 8). Sabrina Morán, docteure en sciences sociales (UBA-IDPS Sorbonne Paris Nord) et a fait un master en sciences politiques à l'Université nationale de San Martín (Argentina).
Elle est professeure de sciences politiques et participe à plusieurs équipes de recherche à l'Institut de recherches Gino Germani de l'Université de Buenos Aires. Natalia Prunes, docteure en philosophie (Université Paris 8) et professeure d'histoire de la langue espagnole (Université de Buenos Aires). Agostina Weler, chercheuse au LLCP (Université Paris 8) et à l'Université de Buenos Aires, membre du projet de recherche « Walter Benjamin : de l'anthropologie au matérialisme anthropologique » (Instituto Gino Germani, UBA, Argentine), et traductrice en sciences sociales et philosophie. Gisele Amaya Dal Bó, chercheuse à l'IDPS (Université Sorbonne Paris Nord) et auteure de La subversion passée sous silence.
Politiques de mémoire sur la dictature en Argentine et au Chili (L'Harmattan). Elle est professeure diplômée en lettres en Argentine et a fait un master en philosophie à l'Université Paris 8. Martin Macías Sorondo, professeur de langues et doctorant en philosophie au LLCP (Université Paris 8). Sabrina Morán, docteure en sciences sociales (UBA-IDPS Sorbonne Paris Nord) et a fait un master en sciences politiques à l'Université nationale de San Martín (Argentina).
Elle est professeure de sciences politiques et participe à plusieurs équipes de recherche à l'Institut de recherches Gino Germani de l'Université de Buenos Aires. Natalia Prunes, docteure en philosophie (Université Paris 8) et professeure d'histoire de la langue espagnole (Université de Buenos Aires). Agostina Weler, chercheuse au LLCP (Université Paris 8) et à l'Université de Buenos Aires, membre du projet de recherche « Walter Benjamin : de l'anthropologie au matérialisme anthropologique » (Instituto Gino Germani, UBA, Argentine), et traductrice en sciences sociales et philosophie. Gisele Amaya Dal Bó, chercheuse à l'IDPS (Université Sorbonne Paris Nord) et auteure de La subversion passée sous silence.
Politiques de mémoire sur la dictature en Argentine et au Chili (L'Harmattan). Elle est professeure diplômée en lettres en Argentine et a fait un master en philosophie à l'Université Paris 8. Martin Macías Sorondo, professeur de langues et doctorant en philosophie au LLCP (Université Paris 8). Sabrina Morán, docteure en sciences sociales (UBA-IDPS Sorbonne Paris Nord) et a fait un master en sciences politiques à l'Université nationale de San Martín (Argentina).
Elle est professeure de sciences politiques et participe à plusieurs équipes de recherche à l'Institut de recherches Gino Germani de l'Université de Buenos Aires. Natalia Prunes, docteure en philosophie (Université Paris 8) et professeure d'histoire de la langue espagnole (Université de Buenos Aires). Agostina Weler, chercheuse au LLCP (Université Paris 8) et à l'Université de Buenos Aires, membre du projet de recherche « Walter Benjamin : de l'anthropologie au matérialisme anthropologique » (Instituto Gino Germani, UBA, Argentine), et traductrice en sciences sociales et philosophie. Gisele Amaya Dal Bó, chercheuse à l'IDPS (Université Sorbonne Paris Nord) et auteure de La subversion passée sous silence.
Politiques de mémoire sur la dictature en Argentine et au Chili (L'Harmattan). Elle est professeure diplômée en lettres en Argentine et a fait un master en philosophie à l'Université Paris 8. Martin Macías Sorondo, professeur de langues et doctorant en philosophie au LLCP (Université Paris 8). Sabrina Morán, docteure en sciences sociales (UBA-IDPS Sorbonne Paris Nord) et a fait un master en sciences politiques à l'Université nationale de San Martín (Argentina).
Elle est professeure de sciences politiques et participe à plusieurs équipes de recherche à l'Institut de recherches Gino Germani de l'Université de Buenos Aires. Natalia Prunes, docteure en philosophie (Université Paris 8) et professeure d'histoire de la langue espagnole (Université de Buenos Aires). Agostina Weler, chercheuse au LLCP (Université Paris 8) et à l'Université de Buenos Aires, membre du projet de recherche « Walter Benjamin : de l'anthropologie au matérialisme anthropologique » (Instituto Gino Germani, UBA, Argentine), et traductrice en sciences sociales et philosophie.

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