Le désir de société. Des Restos du cœur au mouvement des chômeurs

Par : Jean-Marc Salmon

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages348
  • FormatePub
  • ISBN2-348-05115-X
  • EAN9782348051159
  • Date de parution01/01/1998
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille102 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurLa Découverte (réédition numériq...

Résumé

Dans ce livre original, Jean-Marc Salmon propose la première vision globale des nouveaux mouvements associatifs nés de la « fracture sociale ». S'appuyant sur un travail de terrain et une longue enquête auprès des acteurs, il retrace leur genèse sur une vingtaine d'années et restitue leurs analyses d'une société en crise. Avec les Restos du cour, SOS Racisme, Aides, Act-up ou le Droit au logement, le mouvement associatif est entré dans l'ère de la communication.
Ces « média-associations », nées de la mouvance de l'après-68, participent à la renaissance de la société civile au moment où l'État central se désengage, et s'imposent rapidement comme des protagonistes importants des débats de société : racisme, sida, misère... La montée de la pauvreté et des inégalités les a conduites à jouer un rôle politique et à mettre la question de l'exclusion au centre de l'élection présidentielle de 1995.
Mais l'inquiétude de notre société sur son avenir redistribue toutes les cartes. Pour Jean-Marc Salmon, le Front national, premier parti chez les ouvriers et les chômeurs, est tapi dans l'ombre de la « fracture sociale ». En réaction, de nouvelles formes d'autonomie citoyenne s'engouffrent dans la brèche ouverte par le mouvement des sans-papiers, le mouvement des pétitions et l'Appel de Strasbourg.
Face au chômage, se créent des associations d'un nouveau genre : AC !, APEIS, CDSL, MNCP... Leur « guérilla sociale » débouche sur le mouvement des chômeurs de Noël 1997 et relance le débat sur la question sociale.
Dans ce livre original, Jean-Marc Salmon propose la première vision globale des nouveaux mouvements associatifs nés de la « fracture sociale ». S'appuyant sur un travail de terrain et une longue enquête auprès des acteurs, il retrace leur genèse sur une vingtaine d'années et restitue leurs analyses d'une société en crise. Avec les Restos du cour, SOS Racisme, Aides, Act-up ou le Droit au logement, le mouvement associatif est entré dans l'ère de la communication.
Ces « média-associations », nées de la mouvance de l'après-68, participent à la renaissance de la société civile au moment où l'État central se désengage, et s'imposent rapidement comme des protagonistes importants des débats de société : racisme, sida, misère... La montée de la pauvreté et des inégalités les a conduites à jouer un rôle politique et à mettre la question de l'exclusion au centre de l'élection présidentielle de 1995.
Mais l'inquiétude de notre société sur son avenir redistribue toutes les cartes. Pour Jean-Marc Salmon, le Front national, premier parti chez les ouvriers et les chômeurs, est tapi dans l'ombre de la « fracture sociale ». En réaction, de nouvelles formes d'autonomie citoyenne s'engouffrent dans la brèche ouverte par le mouvement des sans-papiers, le mouvement des pétitions et l'Appel de Strasbourg.
Face au chômage, se créent des associations d'un nouveau genre : AC !, APEIS, CDSL, MNCP... Leur « guérilla sociale » débouche sur le mouvement des chômeurs de Noël 1997 et relance le débat sur la question sociale.