D'une écriture sans peur, Alaa El Aswany nous fait partager la vie égyptienne avant la révolution (la majorité des chroniques réunies dans ce livre). Il y décrit la corruption, l'injustice, la fraude électorale, la répression policière, la torture, la radicalisation islamique de certains. Tous ces maux de l'ère Moubarak. Mais comme le pressent cet auteur dans les dernières chroniques (quatrième partie : La révolution n'est pas terminée), c'est Moubarak qui est tombé et non son régime. Sa chronique "La révolution égyptienne s'est-elle trompée ?" démontre toute la fragilité
du futur de cette Égypte qui aspire à plus de justice et de paix.
Il rend également hommage dans la dernière chronique à Ali Farazat, caricaturiste syrien agressé en août 2011.
Pour tous ceux et celles qui ont envie d'en savoir un peu plus sur ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée et d'un courant de pensées qui considère l'être humain dans toute sa globalité.
Didacture décriée
D'une écriture sans peur, Alaa El Aswany nous fait partager la vie égyptienne avant la révolution (la majorité des chroniques réunies dans ce livre). Il y décrit la corruption, l'injustice, la fraude électorale, la répression policière, la torture, la radicalisation islamique de certains. Tous ces maux de l'ère Moubarak. Mais comme le pressent cet auteur dans les dernières chroniques (quatrième partie : La révolution n'est pas terminée), c'est Moubarak qui est tombé et non son régime. Sa chronique "La révolution égyptienne s'est-elle trompée ?" démontre toute la fragilité du futur de cette Égypte qui aspire à plus de justice et de paix.
Il rend également hommage dans la dernière chronique à Ali Farazat, caricaturiste syrien agressé en août 2011.
Pour tous ceux et celles qui ont envie d'en savoir un peu plus sur ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée et d'un courant de pensées qui considère l'être humain dans toute sa globalité.